Le Monde, France
14 février 2005
Anticommunisme, nationalisme, goût de l’ordre : les raisons de leur
engagement PATRICK DEVEDJIAN
FRANCE GÉNÉRATION Quarante ans après, les anciens d’Occident
revisitent leur passé
Ministre délégué à l’industrie.
« Je ne me suis jamais caché de mon passé. J’étais d’origine
arménienne et c’était aussi une façon, pour moi, de me sentir
français.
J’étais anticommuniste et, finalement, je n’ai pas changé. Je me suis
engagé pour la cause de l’Algérie française. J’ai quitté Occident en
1966, après avoir découvert Raymond Aron. Ce mouvement n’avait rien à
voir avec l’extrême droite de Jean-Marie Le Pen. C’était une autre
époque, on ne peut pas comparer… »
–Boundary_(ID_aKi0TWyvbEm/0FC24oSrMw)–
From: Emil Lazarian | Ararat NewsPress