Power transmission project between Iran, Armenia underway despite Covid-19 outbreak

Mehr News Agency, Iran

TEHRAN, Apr. 28 (MNA) – Armenia's Ambassador to Iran Artashes Toumanian said on Tuesday that the two countries’ joint electricity transmission project is underway despite the coronavirus pandemic.

“Iran-Armenia joint projects have not been shut down, and preparations have been underway to dispatch 60 people [from Iran] to Armenia for working on the third power transmission line between the two countries,” Toumanian said in an online meeting on the impacts of the COVID-19 outbreak in the region.

Iran and Armenia have been cooperating for years in gas and electricity swap, and two-way economic and political ties have grown in tandem with an increase in trade. 

Armenia has repeatedly voiced readiness for making swap deals with Iran.

The two sides have also voiced unity in combat against COVID-19.

Back in July 2019, the two countries signed a memorandum of understanding (MOU) in Tehran to expand economic cooperation, especially in the field of energy.

The MOU was signed by Iranian Energy Minister Reza Ardakanian and Armenian Deputy Prime Minister Mher Grigoryan at the end of the 16th Iran-Armenia Joint Economic Committee meeting.

Based on the MOU, the two sides agreed to complete the construction of Iran’s third electricity transmission line to Armenia by 2020 in order to increase the country’s electricity exports to Armenia to over 1000 megawatts (MW).

The MOU also covered cooperation in a variety of areas including road and railway transportation, customs, standardization, establishing free trade zones as well as industry, mining and trade.

On the sidelines of the mentioned meeting, Ardakanian voiced Iran’s readiness to increase gas exports to Armenia and in this regard the two sides agreed to take necessary measures in order to provide infrastructure in this due.

Iran and Armenia use a barter system to exchange gas for electricity and other basic goods.

MNA/

Newspaper: Armenia ex-President Sargsyan’s visit to parliament changes "situation"

News.am, Armenia
Newspaper: Armenia ex-President Sargsyan's visit to parliament changes "situation" Newspaper: Armenia ex-President Sargsyan's visit to parliament changes "situation"

09:18, 29.04.2020
                  

YEREVAN. – Hraparak daily of Armenia writes: It seems that something is wrong at the [National Assembly (NA)] committee of inquiry [into the April 2016 war] (…). Did we notice correctly? We asked the member of the NA committee of inquiry.

"There is such a thing, probably due to [ex-President] Serzh Sargsyan coming to the committee. Their hope was that he would not come, and "a wide field of activity would be opened for them," as they say, "the situation has changed."

Will you call NK [Nagorno-Karabakh (Artsakh)] President Bako Sahakyan next? "It has not been decided yet." Will Bako Sahakyan come? We asked our Karabakh source. "I don't think there's any point in inviting him." Serzh Sargsyan is invited, he can also be invited. "Serzh Sargsyan was the Commander-in-Chief [at the time], he was officially in charge."

CIVILNET.Media Tycoon and Son in Law of Former President Wanted

CIVILNET.AM

22:10 
The Armenian and Azerbaijani foreign ministers have held a video conference. The US State Department has redirected $25 million worth of aid to Armenia’s coronavirus response. 72 more cases of COVID-19 have been confirmed. Reports have emerged that a criminal case has been initiated against former Armenian Ambassador to the Vatican Mikael Minasyan. Armenia hovers at 61st place in the 2020 World Press Freedom Index. 
 

Comment la Suisse aida les rescapés du génocide arménien

 
Catholique, Suisse
22 avril 2020
 
 
 

 

A l’occasion du 24 avril 2020, la communauté arménienne de Suisse veut témoigner de sa reconnaissance envers la Suisse qui s’est montré solidaire de la population arménienne lors du premier génocide du 20e siècle, indique un communiqué du 21 avril.  

C’est à Genève que la communauté arménienne est la plus ancienne et la plus nombreuse. Au début du XIXe siècle les premiers étudiants arméniens arrivent à l’Université de Genève où ils rencontrent des Russes et d’autres ressortissants d’Europe orientale. A la fin du siècle la cité de Calvin devient une pépinière de révolutionnaires.

L’emblème du parti arménien Hentchak fondé à Genève en 1887

En novembre 1887 sept étudiants arméniens y fondent le parti social-démocrate Hentchak (Cloche). En 1892, la Fédération arménienne révolutionnaire Dachnaktsoutioun, fondée en 1890 à Tiflis, s’installe à Genève où elle publie son organe Drochak (Drapeau) jusqu’en 1914. De nombreux intellectuels militants et artistes arméniens fréquentent ses locaux à l’avenue de la Roseraie 29, rapporte le journaliste suisse d’origine arménienne Armand Gaspard.

Les partis Hentchak et Dachnak organisent des révoltes locales en Turquie provoquant une répression généralisée. Entre 1894 et 1896, les persécutions du sultan Abdülhamid II font des dizaines de milliers de victimes dans toute l’Anatolie, le Haut-plateau arménien et jusqu’à Constantinople.

Ces massacres soulèveront une grande émotion en Occident. Notamment en Suisse où en 1896, une pétition demandant l’intervention du Conseil fédéral recueille 454’291 signatures. L’initiative émane d’un comité de secours aux Arméniens (Schweizerischer Hilfsbund für Armenien).

Un mouvement philo-arménien se développe alors, notamment à Genève. On y trouve l’orientaliste Léopold Favre (1846-1922) fondateur de l’hôpital-orphelinat de Sivas, l’égyptologue Edouard Naville (1844-1926), le pasteur Antony Krafft-Bonnard (1869-1945). Dans les années 1920 s’y ajouteront les conseillers fédéraux Gustave Ador (GE) et Giuseppe Motta (TI).

Enfants arméniens déportés au moment du génocide en 1915 | domaine public

En janvier 1915, les armées russes envahissent la Turquie orientale et nombre d’Arméniens voient en elles des «libérateurs». Le gouvernement ottoman décide alors de déporter la population arménienne ou de l’exterminer. Les deux tiers des Arméniens vivant sur le territoire actuel de la Turquie vont périr par les déportations, les famines et les massacres de grande ampleur, planifiés par le parti au pouvoir, le Comité Union et Progrès (CUP), dirigé par les officiers ottomans Talaat Pacha, Enver Pacha et Djemal Pacha. Ce génocide débute le 24 avril 1915, à Constantinople, par l’arrestation et la déportation de 600 notables arméniens. Il fera jusqu’en 1918 plus de 1,2 million de victimes. Les survivants se dispersent à travers le monde. La Suisse en recueille plusieurs centaines.

«Ne pas résoudre la question de l’Arménie serait une souillure, une honte pour la civilisation humaine …»

Giuseppe Motta, Conseiller fédéral

Des négociations entre la nouvelle Turquie de Mustafa Kemal et les Alliés de la Première Guerre mondiale commencent à Ouchy en automne 1922 pour aboutir le 24 juillet 1923 au Traité de Lausanne signé au Palais de Rumine. Il clôt la guerre gréco-turque et instaure un nouvel ordre politique au Proche-Orient. Il remplace surtout le Traité de Sèvres du 10 août 1920 qui créait une grande Arménie indépendante dans des frontières tracées par le président américain Wilson. A Lausanne, l’Arménie, soviétisée depuis le 29 novembre 1920, n’a pas eu voix au chapitre. Elle est totalement sacrifiée.

Au lendemain de la Première Guerre mondiale, la Société des Nations est créée à Genève pour consolider la paix. Dans les années 1921-22 la question arménienne y est évoquée notamment par le conseiller fédéral Giuseppe Motta qui déclare: «Ne pas résoudre la question de l’Arménie serait une souillure, une honte pour la civilisation humaine …».

Câble codé de Sükrü, directeur des affaires tribales et d’immigration, 25 septembre 1915 ordonnant l’extermination des Arméniens.

Le destin de plusieurs personnalités arméniennes passe également par Lausanne. L’écrivain et homme d’Etat Avétis Aharonian (1866-1948) y fait des études de lettres et compose ses premiers œuvres notamment Le village suisse. De retour en Arménie dont l’indépendance est proclamée le 28 mai 1918, il est élu peu après président du Parlement. Après la soviétisation, il choisit l’exil en Occident. Pendant la Conférence de Lausanne, il est à la tête d’une délégation arménienne qui n’a pas droit à la parole. Il termine sa vie à Marseille.

Médecin et poète, Roupen Sevag Tchilinguirian (1885-1915) fait ses études universitaires à Lausanne où il compose ses premières œuvres et rencontre son épouse allemande. De retour à Istanbul, sa ville natale, il est arrêté avec des centaines d’intellectuels arméniens le 24 avril 1915, puis assassiné quelques temps plus tard.

Carte postale du foyer arménien de Begnins | DR

De décembre 1922 à 1936 le village de Begnins, au dessus de Nyon, accueille un orphelinat arménien créé par le pasteur Antony Krafft-Bonnard et l’Œuvre suisse de secours aux Arméniens. L’enseignement y est en arménien dans la perspective d’un retour au pays. Il y a même une imprimerie avec typographie arménienne. Entre 1898 et 1922, près de 2’000 orphelins arméniens au total ont été accueillis en Suisse.

A part Genève et Lausanne, de nombreuses personnalités s’engagent également dans d’autres régions de Suisse.

Médecin zurichoise, Joséphine Fallscheer-Zürcher (1866-1932) fonde à Urfa, en 1897, un hôpital que les Suisses dirigeront jusqu’en 1922.

Au début du 20e siècle des membres de la Mission de Bâle sont actifs dans les provinces arméniennes du Caucase, notamment au Karabagh où ils installent la première imprimerie.

L’Argovien Jakob Künzler (1871-1949) a été envoyé en 1899 en Anatolie par le pasteur allemand Johannes Lepsius pour secourir les Arméniens. Il a dirigé avec sa femme l’orphelinat d’Urfa pendant le génocide et sauvé des milliers d’enfants en les transférant au Liban. Il a raconté son histoire dans un livre Im Lande des Blutes und der Tränen (Au pays du sang et des larmes)

Le Zurichois Johannes Spörri (1852-1923) travaillé à Van de 1905 à 1915 pour l’Œuvre germano-suisse de secours aux Arméniens. Il y a séjourné avec sa femme Frieda Knecht et leurs deux filles. Ils sont revenus en Suisse via la Russie en guerre.

Le médecin bâlois Andres Vischer (1877-1930) reprend en 1905 la direction de l’hôpital de la mission allemande à Urfa. Il y reste jusqu’en 1912. Mais ne peut pas y retourner à cause de l’éclatement de la Première Guerre Mondiale. Jusqu’à sa mort il continuera de s’occuper des réfugiés arméniens.

A Fribourg, le prince Max de Saxe (1870-1951) introduit l’enseignement de l’arménien classique pendant la Première Guerre mondiale à la Faculté de théologie de l’Université. Egalement actif dans l’aide aux réfugiés, il a légué une importante bibliothèque d’arménologie. (cath.ch/mp)

‘Ordres de tuer Armenie 1915’, de Taner Akçam, a été publié en français en 2020

Ordres de tuer
Avec son ouvrage Ordre de tuer, publié en français au début de l’année, l’historien turc Taner Akçam entend démontrer définitivement l’intention et la volonté génocidaire du pourvoir turc envers les Arméniens entre 1915 et 1918.

Pour Taner Akçam, le refus obstiné de l’Etat turc de reconnaître la qualification de génocide pour les massacres des Arméniens s’explique aisément: «Le sujet est trop profondément lié à l’identité nationale. Admettre le génocide remettrait en question ce sur quoi s’est construite la République et annihilerait le récit national. Impossible! Le déni, la destruction de preuves et la fabrication de fausses pièces pour ériger une «fausse histoire» furent inscrits dans la genèse et l’idée même du génocide. Alors…»

Ancien réfugié politique en Allemagne, avant de mener une carrière universitaire aux Etats-Unis, Taner Akçam s’est lancé dans un travail de détective pour retrouver des documents, notamment des télégrammes codés donnant l’ordre explicite d’exterminer les Arméniens. Connus depuis le procès des membres du Comité Union et Progrès en 1920 à Istanbul et celui du meurtrier de Talaat Pacha, à Berlin en 1923, ces documents étaient considérés comme disparus. Une situation commode pour les Turcs qui les ont toujours dénoncés comme des faux.

Après une minutieuse enquête, Taner Akça en a retrouvé la trace dans un fonds d’archives privé aux Etats-Unis. Déchiffrés, ces télégrammes sont accablants. Le 22 septembre 1915, Talaat Pacha écrit que «tous les droits des Arméniens sur le sol turc, tels les droits de vivre et de travailler, ont été supprimés, et aucun ne doit survivre – pas même l’enfant dans son berceau». Une volonté que l’ambassadeur du Reich allemand à Constatinople, Hans von Wangenheim, avait déjà parfaitement identifié en juillet 1915: «La manière de conduire cette déportation montre que le gouvernement poursuit réellement le but d’anéantir (vernichten) la race arménienne dans l’empire turc», écrivait-il dans une note. MP

Taner Akçam: Ordres de tuer, Arménie 1915, Paris, 2020, CNRS éditions

 
 
 

Two more coronavirus cases reported in Artsakh

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 18:00, 9 April, 2020

YEREVAN, APRIL 9, ARMENPRESS. 2 more coronavirus cases have been reported in Artsakh, bringing the total number to 3, ARMENPRESS was informed from Health ministry of Artsakh.

‘’The results of the 3 tests done today two were positive. One of them is the daughter-in-law of the person who was tested positive on April 7, who had been self-isolated from April 2. The second is a citizen of Armenia who entered Artsakh and during filling out an individual card it became clear that he came from a risk zone.

That citizen was also in self-isolation until being tested and soon he will be taken to the Republic of Armenia’', the Ministry said.

Edited and translated by Tigran Sirekanyan

CIVILNET.The World After COVID – 19: A View From Malaysia

CIVILNET.AM

9 April, 2020 19:20 

The transformation of the Post-Cold War global order has been underway since the mid 2000s. The unipolar era of US hegemony is fading away, while the world is entering into а multi-polar system. Many experts now talk about the return of rivalry between the great powers. The key feature of the 21st century geopolitics will be the rivalry between the US and China. It remains to be seen if Beijing and Washington are able to avoid a confrontation and choose the path of managed competition. 

The COVID–19 pandemic will definitely have its impact on the evolution of world geopolitics. The efficient struggle against the Virus requires international cooperation. In the meantime governments have resorted to increasing national sovereignty and seeking more localised solutions to the issues that emanate from the pandemic.  

The world is already witnessing the start of conflicts around narratives. Many in the US and the EU accuse China of an alleged initial weak response which resulted in widespread dissemination of the virus. Meanwhile China has blamed the US military for bringing the Virus into Wuhan. Thus the COVID–19 pandemic may either usher a new era of cooperation or may trigger an intensified confrontation between China and the US. 

US-China confrontation/cooperation will largely shape the new world order after the pandemic.

Benyamin Poghosyan, CivilNet’s host of the “Crossroad” project, discusses these issues with Ong Tee Keat, founding Chairman of the Centre for New Inclusive Asia, a leading think-tank based in Kuala Lumpur, Malaysia. Mr. Ong Tee Keat is the former Deputy Speaker of the Malaysian House of Representatives. He joined CivilNet from Kuala Lumpur.

CivilNet thanks the Friedrich Ebert Stiftung (FES) for their cooperation and support.
 

Nagorno-Karabakh holds ‘elections’ despite international criticism and virus concerns

EurActiv
March 31 2020
<img width="800" height="450" src=”"https://www.euractiv.com/wp-content/uploads/sites/2/2020/03/Karabakh-vote-800×450.jpg" class="attachment-16×9 size-16×9 wp-post-image" alt="" />

'Elections' are held in Nagorno-Karabakh [@AybanizIsm Twitter]

The authorities of the internationally unrecognised breakaway region of Nagorno-Karabakh are holding presidential and parliamentary elections amid international criticism and despite the coronavirus pandemic.

Nagorno-Karabakh is a region within Azerbaijan that was seized by Armenian-backed separatists who declared independence amid a 1988-1994 conflict that killed at least 30,000 people and displaced hundreds of thousands.

Following a Russia-brokered fragile truce in 1994, the region has been under the control of ethnic-Armenian forces that Azerbaijan says include troops supplied by Armenia. The region’s claim to independence has not been recognised by any country.

The ethnic Azerbaijani population of Nagorno-Karabakh has been expelled from their homelands and lives as internationally displaced persons (IDPs) in Azerbaijan.

Russia, the United States, and France are the co-chairs of the Minsk Group of the Organization for Security and Cooperation in Europe (OSCE), which acts as a mediator in resolving the crisis. The group has been struggling for years to mediate a solution to the situation.

In a sternly worded statement, the European Union reiterated on Tuesday (31 March) that it does not recognise the so-called elections and warned that the move could hamper the progress of international negotiations on resolving the conflict.

“In view of the so-called ‘presidential and parliamentary elections’ in Nagorno-Karabakh on 31 March 2020, the European Union reiterates that it does not recognise the constitutional and legal framework within which they are being held,” EU spokesperson Peter Stano said.

“This event cannot prejudice the determination of the future status of Nagorno-Karabakh or the outcome of the ongoing negotiation process.”

Stano also reiterated the EU’s “firm support to the OSCE Minsk Group and, in particular, to its Co-Chairs’ efforts to bring about progress beyond the status quo and substantive negotiations towards comprehensive and sustainable peace.”

Azerbaijan and its closest regional ally, Turkey, have both condemned the poll.

The election went ahead despite concerns over the coronavirus outbreak that prompted even some of the candidates to call for their postponement, RFE/RL reported.

As of 30 March, the region reported no coronavirus cases, saying that three people who had been isolated on suspicion of having the virus have tested negative for it.



President of Artsakh receives delegation of Armenia’s Television and Radio Commission

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 16:56, 1 April, 2020

STEPANAKERT, APRIL 1, ARMENPRESS. Artsakh Republic President Bako Sahakyan met today with the delegation of the Television and Radio Commission of Armenia led by head of the structure Tigran Hakobyan, the Presidential Office told Armenpress.

Issues related to the cooperation of Armenia and Artsakh in the sphere of telecommunication were discussed during the meeting.

The meeting was also attended by chairman of the Artsakh Republic State Commission on Regulating Public Services and Economic Competition Michael Virabyan.

Bako Sahakyan welcomed the monitoring of TV and radio companies conducted during the pre-election campaign within the framework of the cooperation between the regulatory bodies of the two Armenian states qualifying it significant and demanded.

Police charges 357 citizens in one day with violating movement restriction and quarantine rules

Panorama, Armenia

The Police of Armenia continues implementing the Commandant’s directive on the restriction on public movement to prevent the spread of coronavirus, the press service at the Police reported.

As the source said, on March 31 from 9 a.m. to 6 p.m., 357 people in Armenia have  been pressed with administrative charges for violating quarantine rules and other restrictions of public movement  imposed to contain the coronavirus. The total number of citizens called for administrative liability has been 3806 since the directive of the Commandant’s Office. 1909 out of the total number were recorded in capital Yerevan.

In the meantime, on March 31, 227 cases for transporting more than two passengers were revealed in the republic. 69 drivers were pressed administrative charges for transporting more than two passengers.