BAKU: Azeri TV Slates British MP’l Visit to Karabakh

AZERI TV SLATES BRITISH MP’S VISIT TO KARABAKH

Azad Azarbaycan TV, Baku
19 Oct 04

(Presenter) Britain has on more than one occasion stated that it is
interested in the resolution of the Karabakh problem, it recognizes
Azerbaijan’s territorial integrity and condemns separatism. However,
regrettably, all these are verbal statements. A new visit by Baroness
Caroline Cox from Britain’s House of Lords to Stepanakert might cause
a diplomatic row between London and Baku.

(Correspondent) A person who is a member of the House of Lords,
Britain’s most influential and prestigious body, damages the influence
and dignity of the House. She is separatist Baroness Caroline
Cox. This woman has been in contact with the Karabakh separatists for
a long time. She completed her latest 55th visit to Karabakh
lately. Although the Azerbaijani government has repeatedly protested
against the visits by the high-ranking British parliamentarian, London
diplomats stress that Cox visits Karabakh at her own expense. However,
it is obvious this time that the British embassy could not keep to
itself its false peace-loving mission and decided to help the
separatist baroness and did this in an open fashion.

Certainly, we are speaking about the British embassy in Armenia. Today
Armenian web sites reported that Caroline Cox’s visit to Nagornyy
Karabakh was arranged precisely by the British embassy in
Yerevan. British diplomats may interpret this differently – allegedly
they organized her visit to Armenia, and Cox, in turn, went to
Karabakh herself, and they were allegedly unaware of Cox’s programme
and so on.

It is intriguing that Britain, which is a member of the UN Security
Council, has always stated that it recognizes Azerbaijan’s territorial
integrity and is against separatism.

Nevertheless, the failure to see a British citizen who embraces
separatists in Azerbaijan is disrespect for Azerbaijan and the
manifestation of double standards, to put it in diplomatic terms. The
separatist baroness, who describes herself as a champion of the truth,
has never visited Azerbaijan despite numerous invitations. She refused
to come to Azerbaijan to eyewitness the situation in Azerbaijan and
the state of the refugees. In return, she voices the slogan Freedom to
Nagornyy Karabakh, which does not go hand in hand with official
London’s policy. This is British-style justice and truth.

Etibar Mammadov for “Son Xabar”.

Himnadram: A new residential building in Yerankyuni district

PRESS RELEASE
“Hayastan” All-Armenian Fund
Governmental Building 3, Yerevan, RA
Contact: Artak Harutyunyan
Tel: 3741 52 09 40
Fax: 3741 52 37 95
E-mail: [email protected]
Web:

2004-10-15
A new residential building in Yerankyuni district

On October 15, the inauguration of the residential building 7A took
place in Yerankyuni district, Spitak, with participation of the of the
“Hayastan” Fund’s Executive Director Mrs. Naira Melkoumian, the
Governor of Lori Marz Henrik Kochinyan and the chairperson of the
Fund’s Great Britain affiliate Mrs. Armine Karapeti. Due to the Fund
eight more families will be provided with new apartments. Very soon,
by the efforts of the “Hayastan” Fund’s Great Britain and Germany
affiliates the construction of the whole district will be completed.

http://www.himnadram.org/

Le grand debat a l’Assemblee nationale sur l’adhesion de la Turquie

Le Temps, France
15 octobre 2004

Le grand débat à l’Assemblée nationale sur l’adhésion de la Turquie a accouché d’une souris;

FRANCE. Plus de vingt orateurs sont intervenus jeudi à l’Assemblée
nationale pour débattre de l’opportunité d’ouvrir les négociations
avec Ankara. Des semaines de polémiques et une discussion sans vote
arrachée au gouvernement n’ont abouti qu’à un débat sans passion
devant un hémicycle à moitié vide.

Y a-t-il un député français qui est favorable à une adhésion aussi
rapide que possible de la Turquie à l’Union européenne après le début
des négociations que décidera d’ouvrir, le 17 décembre prochain, le
Conseil européen? La réponse est non. Le débat de jeudi à l’Assemblée
nationale, obtenu de haute lutte par les députés de la majorité et de
l’opposition, n’a donné lieu à aucune empoignade entre les partisans
d’un oui enthousiaste et ceux d’un non ferme et définitif.
Jean-Pierre Raffarin a résumé l’opinion des 23 députés qui sont
intervenus après lui sans même les avoir entendus: «Ni l’Europe ni la
Turquie ne sont prêtes à [cette] adhésion.»

Durant tout l’après-midi, il n’a été question que de conditions et de
délais, quinze ans ou plus. Jean-Pierre Raffarin a rappelé que «la
demande d’adhésion de la Turquie n’est pas illégitime», en faisant
l’inventaire des démarches turques pour se rapprocher de l’Union
européenne depuis 1959, et en soulignant que la Turquie était déjà,
dans les années 1960, «un élément majeur de la politique
méditerranéenne et proche-orientale du général de Gaulle». Mais il a
ensuite énuméré les inconvénients de cette adhésion: «Risque de voir
l’ambition de l’Europe politique diluée dans un ensemble si vaste et
si disparate qu’il serait impossible d’avancer ensemble, risque
d’incompréhension entre deux mondes, deux cultures profondément
différentes.» «Face à ces deux objections et à d’autres encore,
a-t-il ajouté, nous ne pouvons répondre aujourd’hui, c’est pourquoi
il faut laisser du temps au débat et à la réflexion.»

Le premier ministre est cependant convaincu qu’«il est dans l’intérêt
de la France et de l’Europe d’avoir une Turquie stable, moderne,
démocratique qui partage nos valeurs et nos objectifs». «La Turquie
change parce qu’elle manifeste un vrai désir d’Europe. Laissons lui
du temps. […] L’histoire tranchera», a-t-il conclu avant de répéter
que la Commission européenne n’a donné qu’un «oui conditionnel», et
que plus tard, quand le moment sera venu, le peuple français sera
consulté par référendum.

La plupart des orateurs de l’opposition, même s’ils ont protesté
contre le fait que le débat d’hier n’était pas suivi d’un vote, ne
semblaient pas avoir d’objections majeures au discours consensuel et
prudent du premier ministre. «Claquer la porte devant la Turquie
serait interprété comme un manquement à la parole de notre pays, elle
a droit aux négociations», a dit le président du groupe socialiste à
l’Assemblée, Jean-Marc Ayrault. Avant de poser une condition qui
s’adresse plus à l’Europe qu’au pays candidat: retrouver un moteur
politique qui évite que les nouveaux élargissements ne condamnent
l’Union à se diluer dans une simple zone de libre-échange sous
influence américaine. Quant aux députés de l’UMP, ils ont évité
soigneusement d’affronter le gouvernement et le président de la
République en transformant leur hostilité à l’adhésion en une
proposition de partenariat privilégié.

Est-ce parce que l’ensemble de la représentation nationale était
saisie par un syndrome de procrastination (de remise au lendemain)?
Le débat s’est déroulé sans passion, sans envolées, et surtout dans
un hémicycle plus qu’à moitié vide au début et presque désert à la
fin. Seul le député vert Noël Mamère a défendu clairement l’adhésion:
«Les Verts n’ont ni divisions ni états d’âme. Nous sommes pour,
résolument pour», a-t-il déclaré. Mais il a tout de même émis des
réserves. Il faudra, a-t-il expliqué, qu’avant l’adhésion proprement
dite le problème chypriote soit résolu et que la Turquie reconnaisse
le génocide arménien.

Il y avait aussi François Bayrou. Farouche adversaire de l’adhésion.
«Nous croyons que l’Union européenne est une unité politique en
construction. Or l’adhésion de la Turquie n’est pas un pas vers
l’unité de l’Europe, c’est un pas vers sa dispersion», a-t-il
proclamé. Mais encore la trahison de son unité culturelle: «L’Europe
est la rencontre la plus féconde que l’histoire ait jamais produite,
[…] entre Athènes, Rome et Jérusalem. Supprimez l’un des trois,
vous supprimez l’Europe.» Bien que les sondages montrent qu’une
majorité de citoyens sont hostiles à l’adhésion turque, François
Bayrou sait que sa position est minoritaire à l’Assemblée. Il tentera
donc seulement de freiner le processus et d’éviter qu’il soit
irréversible en demandant que la négociation porte à la fois sur la
possibilité d’adhésion et sur celle d’un partenariat privilégié.

Voilà donc un grand débat qui a accouché d’une souris. Sans doute en
raison des contradictions internes de la droite comme de la gauche.
Sûrement parce que les interrogations sur la perspective, même
lointaine, de l’adhésion turque révèlent l’étendue des questions non
résolues sur l’identité politique de l’Union européenne.

Armenian TV programme “indefinitely” taken off air

Armenian TV programme “indefinitely” taken off air

A1+ web site
15 Oct 04

A new television program created by and featuring news and analysis
from RFE/RL’s Armenian Service, was abruptly pulled from the schedule
of the local Armenian television station “Kentron” on 13 October,
according to service director Hrair Tamrazian. Although the television
station’s management has made no comment on the decision, it is widely
suspected that Kentron was pressured to suspend further broadcasts of
the program, either by official interests or local media competitors.

The television show, a 30-minute long analytical program called
“Azatutyun” (Liberty), debuted to rave reviews on Kentron Sunday, 10
October and was rebroadcast by Kentron the next day on 11 October. Two
days later, Tamrazian was informed by Kentron director (?Petros
Ghazarian) that the show would be “indefinitely suspended”. Kentron
has not commented on the reasons behind his station’s decision.

Tamrazian said: “I am very disappointed that, after tireless efforts
by RFE/RL and Kentron that resulted in a very successful TV show, it
was suspended for as yet unknown reasons. I call on the authorities
to investigate this matter and hope that Kentron and RFE/RL will
continue in a joint project that was eagerly awaited by many viewers
and listeners in Armenia.”

Many viewers called the Armenian Service after the show, to express
their appreciation for the program. Viewers said that the program
was a “breakthrough” for Armenian television, because of RFE/RL’s
objectivity, as well as for featuring a new format with two moderators
(male and female) and the show’s ability to “connect” with its
audience. The first show featured an exclusive report from Strasbourg
on the recent debate about Armenia in the Parliamentary Assembly of
the Council of Europe (PACE), as well as exclusive interviews about
Armenian-Turkish relations with Armenian Foreign Minister Vardan
Oskanyan and the new US ambassador, John M. Evans. Passage omitted:
background information

Opposition Keeps Accusing

OPPOSITION KEEPS ACCUSING

A1 plus
12-10-2004

The opposition MPs were very active at Tuesday’s parliamentary hour
of announcements. They spoke mostly on Karabakh problem. Shavarsh
Kocharyan said Karabakh had found itself out of negotiation process
thanks to the current authorities. In his words, Armenia is seeking
international recognition for Karabakh while it hasn’t recognized the
republic formally. He said only after power transfer Nagorno-Karabakh
Republic’s independence will be recognized.

MP Tatul Manaseryan brought his economic analysis to show the desperate
situation Armenia found itself.

Victor Dallakyan remembered the 2003 rigged elections and said the
republic’s all troubles caused by the illegitimate authorities that
must be ousted from power with all their supporters.

Vardan Lazarian announced about the rally the opposition will hold
on October 27 to mark anniversary of terrorist attack on Armenian
National Assembly.

Itera holding negotiations on selling 10% in Armenian gas distributi

Itera holding negotiations on selling 10% in Armenian gas
distributing company

RosBusinessConsulting Database
October 11, 2004 Monday

Itera is holding negotiations on selling 10 percent in Armrosgazprom,
a source close to the company said. A large European investment
holding is among the potential buyers of a 10-percent stake in the
Armenian-based company, the source reported. The 10-percent stake
is valued at $28m, the source said. The press department of Itera
confirmed information about negotiations and declined to disclose
probable participants of the proposed deal.

Gazprom and the Armenian government both have 45-percent stakes in
Armrosgazprom. As Itera does not deliver gas to Armenia, the company
considers the possibility of disposing of this non-core asset, Itera
representatives said. Analysts believe that Gazprom may be interested
in acquiring Itera gas assets. Armrosgazprom controls Armenian gas
distributing networks.

Les reticences a l’entree d’Ankara dans l’Union europeenne dominent

Le Monde, France
04 octobre 2004

Les réticences à l’entrée d’Ankara dans l’Union européenne dominent
largement dans le débat politique français ;
FRANCE ÉLARGISSEMENT DE L’EUROPE M. Chirac promet un référendum sur
l’adhésion de la Turquie

Jean-Michel Bezat

L’ÉCHÉANCE est lointaine, mais le sujet est si sensible qu’il
mobilise déjà, en France, l’ensemble des chefs de partis. Tous ont
officiellement arrêté une position – pour ou contre – l’adhésion de
la Turquie dans l’Union européenne (UE). Dans le camp du « oui »
comme dans celui du « non », chaque argument avancé est retourné par
l’adversaire. Un élargissement de plus, pour le premier ; une
dilution, selon le second. L’arrivée d’une nation musulmane mais d’un
Etat laïque ; le cheval de Troie de l’islamisme dans la vieille
Europe chrétienne. La poursuite d’un projet destiné à contrebalancer
la superpuissance américaine ; la mort du projet d’Europe-puissance.

Une chose est sûre, les « turcosceptiques », pour reprendre
l’expression de huit intellectuels turcs ( Le Monde du 29 septembre),
dominent la classe politique française. Ils relaient ainsi une
opinion publique majoritairement hostile à l’entrée de la Turquie
dans l’Union, qu’il s’agisse des sympathisants du FN (74 %), de l’UDF
(72 %) et de l’UMP (63 %), mais aussi des partisans du PS (55 %),
selon un sondage Ipsos publié, le 28 septembre, par Le Figaro. Le FN
et le Mouvement pour la France (MPF) de Philippe de Villiers mettent
en avant le risque d’une perte de l’identité culturelle, voire
religieuse, du Vieux Continent. Il est d’autant plus fondé, selon
eux, que le parti du premier ministre, Recep Erdogan, défend les
valeurs islamiques.

Les craintes des dirigeants de l’UMP sont aussi fortes, mais elles
s’expriment de façon plus nuancée – sauf quand Jean-Pierre Raffarin
redoute, dans un récent entretien au Wall Street Journal, que « le
fleuve de l’islam » ne rejoigne « le lit de la laïcité ». Ces
positions sont éloignées de celles de Jacques Chirac, qui juge que la
Turquie a « vocation » à intégrer l’Union « à long terme ». Le chef
de l’Etat récuse notamment les argumentaires ethniques ou religieux,
persuadé qu’ils confortent tous ceux qui, aux Etats-Unis et en
Europe, ne voient plus dans la marche du monde qu’un « choc des
civilisations ».

Encore président du parti chiraquien, Alain Juppé avait été sans
ambiguïté. Invitant les militants à « ne pas confondre élargissement
et dilution », il soulignait, en mai 2004, que ni « la culture » ni «
l’histoire » de la Turquie – pas plus que celles de la Russie, de
l’Ukraine ou du Maghreb – ne la destinent à entrer dans « la famille
» européenne. Nicolas Sarkozy, le futur président de l’UMP, défendra
un point de vue similaire : il affirmait récemment, et en termes
presque identiques à ceux de M. Juppé, que la Turquie « n’a pas sa
place en Europe ».

Président de l’UDF, François Bayrou joue, lui aussi, sur le triple
registre de la culture – « une autre conception de l’homme, de la
famille, de la femme » -, de la démographie – « choisir de faire d’un
pays non européen le plus important d’Europe par sa représentativité
au Parlement est un danger » – et de la politique – « une adhésion
éventuelle signifie en fait le renoncement au projet d’union
politique » – pour la rejeter aux marges de l’Union. Il préfère lui
accorder le statut de « partenaire associé » prévu par les traités
européens, comme Valéry Giscard d’Estaing, Edouard Balladur et…
Laurent Fabius.

« PAS UN CLUB CHRÉTIEN »

Comme le projet de Constitution européenne, la question turque
suscite une divergence entre l’ancien premier ministre et le premier
secrétaire du PS, François Hollande. M. Fabius renvoie le pays de
Kemal Atatürk dans le troisième des « cercles concentriques » autour
desquels l’Europe devrait, selon lui, s’organiser. Plus ouvert à une
intégration dans l’Union, M. Hollande cherche, lui, un point
d’équilibre entre ses partisans et ses adversaires. En recevant M.
Erdogan, le 22 juillet, il lui a confirmé son « oui » de principe,
tout en l’assortissant de conditions strictes, dont la reconnaissance
du génocide arménien de 1915 et un respect plus strict des droits de
l’homme.

Sans états d’me, Michel Rocard, européen fervent, défend pour sa
part l’intégration de la Turquie, notamment au nom de la sauvegarde
de la paix dans la région. La refuser, argumente l’ancien premier
ministre, ce serait « attiser le brasier » que l’invasion de l’Irak
par les Etats-Unis a allumé dans le monde musulman.

Dans cet environnement fait d’hostilité et de prudence tactique, les
Verts apparaissent les plus « turcophiles ». Ils souhaitent que le
processus d’adhésion soit engagé « le plus vite possible »,
soulignant que « l’Union n’est pas un club chrétien » et que « la
Turquie est un pays laïque ». Deux arguments régulièrement invoqués
par le PCF et la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) pour
défendre, eux aussi, son entrée dans l’Europe.

New sunscreen technology reported by Omaha scientist

The Gateway, NE
Sept 30 2004

New sunscreen technology reported by Omaha scientist

As summer comes to an end, an Omaha physician-scientist has recently
reported research findings on a unique sunscreen that could help
people against the sun’s exposure.

Dr. Ramon M. Fusaro, M.D., of the UNMC and Creighton University
Medical Center faculty, presented the results of a sunscreen that is
built into and bound to the skin. The results were presented at the
Eighth International Symposium on the Maillard Reaction in
Charleston, S.C. He conducted the research along with colleague Edwin
Rice, M.D. of Minneapolis’ Park Nicollet Clinic.

The two reported that the formation of melanoidins in the skin, a
keratin-bound sunscreen, protected 30 Caucasian patients from
developing a sun rash from their allergy to sunlight without any
therapeutic failures. The sunscreen was chemically formed in the top
later of the skin by the overnight sequential bedtime applications of
two chemically pure medications. The first medication was
dihydroxyacetone (sunless tanning lotion) followed 15 minutes later
by lawesone (active dye in henna). Serious side effects could be
caused by over-the-counter versions, if used by the public. Fusaro
and Rice warn that those are not pure and may degenerate.

Fusaro said that experimental records of the studied patients
revealed that they also never experienced any sunburns during the
seven months of the study even though 60 percent of them were in
sunlight for eight to six hours per day.

While there are many advantages to the sunscreen, there remains one
major disadvantage of the keratin-bound sunscreen. It cannot be used
in individuals who have a rare disease known as glucose-6 phosphate
dehydrogenase deficiency. Fusaro said, however, that the presence of
the genetic mutation could be identified by a blood test.

The keratin-bound sunscreen will most likely be a prescription
medication, and the user will have to take vitamin D supplements
because of the sunscreen’s efficiency of blocking the sun’s rays
entering the skin.

UNMC teams to help Arab nursing education

Last Monday, UNMC’s College of Nursing formalized a three-year
contract affiliation with the Al-Zaytoonah Private University of
Jordan that will include sharing UNMC’s traditional and online
nursing education and clinical curriculum. It also will provide
faculty training in integrating online courses into traditional
curriculum.

The affiliation was established to advance nursing education in
Jordan and the Arab region.

UNMC’s college of nursing already provides courses to faculty of
Erebouni College in Armenia -the pilot site for the college’s
strategy of a “global classroom” moving into other regions– as well
as India and China.

Officials say the advantages of the partnership include raising the
quality of nursing education, ultimately improving patient care, and
addressing nursing shortages in Jordan and the Arab region. There are
eight colleges of nursing in Jordan.

One of the first things the partnership will support is the creation
of a learning resource center at AZPU. The center will be equipped
with computers and other technology allowing students to learn and
practice nursing skills on their own. The center will also integrate
online courses, audio-visual resources and address improvements in
clinical instruction and evaluation.

BAKU: Azeris in Moscow protest Garabagh occupation

Azeris in Moscow protest Garabagh occupation

Azer News
30 Sept 04

Ilgar Gasimov, chairman of the Movement for Azerbaijan, held a
news conference on Monday in the wake of a protest action held by
Azerbaijanis on Teatralny Square in Moscow on September 25 under the
“There is not Azerbaijan without Garabagh” motto.

Gasimov said that during the action, which drew hundreds of Azeris
living in Moscow, Kaluga, Tula and Kostroma provinces of Russia,
protesters condemned Armenia’s policy of aggression and stated that
Azerbaijan would not allow aggressors to appropriate its lands. The
protesters adopted an appeal to Azerbaijani President Ilham Aliyev
and his Russian counterpart Vladimir Putin.

The appeal to President Aliyev says that the Movement will support
all steps by the President at liberating Garabagh. In the appeal to
Russian President Putin, the Movement condemns the recent terrorist
attacks tragedy in Beslan, North Ossetia and urged Russia to take an
impartial position towards the Garabagh problem. The Mayor’s Office
of Baku did not sanction the rally.

Iodine Deficiency Disorders Plague Europe

Iodine Deficiency Disorders Plague Europe, Central Asia, says UNICEF
By Lisa Schlein

VOA News
Sep 28, 2004

Anatoly Karpov(UNICEF)

GENEVA – The UN Children’s Fund, UNICEF, says Iodine Deficiency
Disorders, which cause mental retardation, are a huge problem in
Europe and Central Asia. UNICEF says this disorder can be solved for
as little as five cents per person per year by iodizing salt.

In this video clip, UNICEF’s regional ambassador and 16-time world
chess champion, Anatoly Karpov, tells children they must have iodine
in their diet, if they want to be smart. He repeats this message in
a joking manner to a group of journalists.

“I can answer you like a joke that I believe that, when we solve
the problem, every child will play chess,” said Anatoly Karpov. “I
believe that this is extremely important, and this is a problem we
know how to solve. One of the few problems we know how to solve.”

Mr. Karpov comes from Russia, located in one of the regions of the
world most seriously affected by iodine deficiency. UNICEF statistics
show that more than half of the people in Western and Central Europe
live in iodine-deficient countries. Surprisingly, some of the most
developed countries, such as Belgium, Denmark, France and Germany
suffer from a lack of iodine. However, the problem is most severe in
countries such as Russia and the Ukraine.

UNICEF says these two countries account for 1.3 million newborn babies
a year, who are not protected from iodine deficiency. This out of
five million iodine deficient babies born in all of the region’s 22
countries. Mr. Karpov says the babies suffer because their mothers
did not include iodine in their diets when they were pregnant. He
says, unfortunately, the mental retardation that results from iodine
deficiency in the womb is not reversible in later life.

“We believe that the cheapest, simplest and general message, to
avoid iodine deficiency, is to have general iodization of salt,” he
said. “And, it does not cost too much. It is about five cents per
year, per person-very cheap.” Mr. Karpov says governments should
pass legislation to make iodized salt mandatory. He says, in countries
with such laws, iodine deficiency disorders have decreased. He notes
this can be seen even in poor countries, such as Serbia-Montenegro,
Bosnia-Herzegovina, Armenia and Georgia.

UNICEF says governments often do not promote iodine in food out of
ignorance or widely-held misconceptions. For example, it says India
rescinded legislation on iodized salt under pressure from consumer
groups. It says these groups claimed that iodine in salt causes
a variety of health problems. Tragically, it says, by eliminating
iodine from the diet, mental retardation among children in India,
once again, is on the rise.