Author: Karagyozian Lena

ArmenPress
Dec 10 2004

CONVICTS TO RECOVER HEALTH AT MODERN HOSPITAL

YEREVAN, DECEMBER 10, ARMENPRESS: A senior clergyman of Armenian
Apostolic Church blessed today a new hospital built for convicts. The
ceremony was attended by prime minister Andranik Margarian, justice
and health ministers, parliament members and other officials.
The prime minister said around 700 million drams are earmarked for
major construction and repair works at correctional facilities in
order to improve the conditions in which the prison population is
kept and also to provide bigger security.
The repair of prisons is part of a broader judicial reform, funded
by the government and international donor organizations. Margarian
said the new hospital will be essential in terms of recovering the
convicts’ health condition.
Justice minister David Harutunian said the government alone is not
able to provide all necessary funds and welcomed the assistance of
other governments and organizations.
“Our major principle is to celebrate at least one victory a year,”
the minister said meaning reconstruction of a prison a year.

ARKADY GHOUKASSIAN AWARDS ARMENIAN PHOTOGRAPHER FROM CANADA HRAIR (BAZE)
KHACHERIAN WITH NKR MEDAL “YERAKHTAGITUTYUN”

STEPANAKERT, December 8 (Noyan Tapan). On December 8, NKR President
Arkady Ghoukassian awarded well-known Canadian photographer of Armenian
origin Hrair (Baze) Khacherian with the NKR medal “Yerakhtagitutyun”
(“Gratitude”). He was awarded with this medal for contribution to
the development of the NKR culture and in connection with the 15th
anniversary of the national-liberation movement in Artsakh.

Hrair Khacherian expressed deep gratitude to the head of the Karabakh
state for such a high assessment of his work. According to him,
Artsakh is a source of creative inspiration not only for himself but
for all the culural and art workers of the Armenian Diaspora.

According to the Head Information System attached to the NKR President,
on his behalf the Canadian photographer presented Arkady Ghoukassian
with one of his works.

Le Monde, France
mardi 7 Décembre 2004

Europe, UMP, Raffarin : les trois hypothèques qui pèsent sur Chirac

Le “oui” du PS à la Constitution européenne et l’élection de Nicolas
Sarkozy à la présidence du parti majoritaire n’ont pas dégagé
l’horizon du chef de l’Etat : le référendum n’est pas gagné, une
crise est possible avec son ex-ministre des finances, et un
remaniement début 2005 toujours à l’étude.
Le mot d’ordre à l’Elysée, après une semaine capitale qui a vu
Nicolas Sarkozy accéder à la tête de l’UMP, les militants du PS
approuver la Constitution européenne et la justice ménager l’avenir
d’Alain Juppé ? “La vie continue.” C’est sans doute une manière de
dire que les soucis aussi. Ceux du chef de l’Etat concernent en
particulier le référendum, l’avenir du gouvernement et du premier
ministre, les rapports avec l’UMP.

Si Jacques Chirac a pu se réjouir du “oui” des socialistes – “une
bonne nouvelle pour l’Europe”, a-t-il dit le 2 décembre à Lübeck
(Allemagne) -, il ne considère pas la partie gagnée. “Il faut voir
maintenant comment François Hollande va gérer ça, s’il a la capacité
d’entraîner”, observe un conseiller du chef de l’Etat, notant que les
partisans du “non” n’ont pas désarmé. En outre, l’entourage
présidentiel juge fragiles les sondages qui indiquent, pour
l’instant, une majorité favorable au “oui”. D’autant que “l’os turc”,
selon l’expression d’un chiraquien du premier cer-cle, ne serait
toujours pas passé.

Espérant toujours qu’un “découplage” entre la question de l’adhésion
turque à l’Union européenne et l’adoption de la future Constitution
s’effectuera au Conseil européen du 17 décembre, l’Elysée plaide
qu’il s’agit d’un “préalable” : “La question turque se posera un
jour, y dit-on ; il n’y a pas lieu de la préempter maintenant par un
vote d’humeur sur la Constitution.” Mais il n’est pas certain que la
promesse d’un référendum dans dix ou quinze ans sur le statut de la
Turquie – telle que M. Chirac l’a formulée (Le Monde du 4 octobre) –
suffise à convaincre.

UNE ÉPINE

M. Chirac n’a même pas réglé la question au sein du couple
franco-allemand. Gerhard Schröder ne veut pas du scénario alternatif
d’un “partenariat privilégié” avec la Turquie – comme l’a recommandé,
dimanche, Valéry Giscard d’Estaing. Fidèle de M. Sarkozy, le ministre
délégué à l’industrie, Patrick Devedjian, a mis l’accent sur la
reconnaissance du génocide arménien par la Turquie, dimanche sur
Radio J. Quant à l’élargissement de l’Union à 25 pays, l’Elysée
considère avec optimisme qu’il ne s’agit plus que d’une “question
technique”.

Autant dire que l’Europe reste une épine pour M. Chirac, tant que le
référendum annoncé pour 2005 n’est pas gagné. Son entourage
s’empresse néanmoins d’assurer qu’un “non” des Français à la
Constitution européenne ne signifierait aucun rejet personnel du
président de la République. Ses conseillers soulignent d’ailleurs que
M. Chirac a toujours déploré la personnalisation de l’enjeu
référendaire, affirmant régulièrement que “De Gaulle n’a pas rendu
service au référendum en démissionnant en 1969” – après l’échec de
son référendum sur le Sénat et la régionalisation.

M. Raffarin pourra-t-il conduire, avec le chef de l’Etat, la campagne
référendaire ? A la rentrée, certains chiraquiens rejetaient
catégoriquement cette hypothèse, jugeant le premier ministre trop
affaibli. Le vent semble tourner. “Si le “oui” l’emportait au PS,
Chirac laissait Raffarin faire la campagne. C’était le deal”, assure
un ministre proche du chef de l’Etat. ” Raffarin sera changé après la
campagne”, approuve un expert qui conseille l’Elysée, ajoutant : “Je
ne vois pas en quoi son impopularité change quelque chose au
référendum. C’est une vision de court terme.” A quoi un député
chiraquien ajoute : “S’il n’y a pas de mouvement social fort, Chirac
ne fera rien sur la seule base de sondages défavorables à Raffarin.”

Si le président a naturellement réfléchi au remplacement de son
premier ministre – songeant à Dominique de Villepin, Jean-Louis
Borloo ou Michèle Alliot-Marie -, il semble peu pressé de renoncer au
confort que lui offre encore M. Raffarin. Le départ de M. Sarkozy du
gouvernement donne à ce dernier une bouffée d’air que M. Chirac
souhaiterait lui laisser. Quitte à opérer un remaniement plus large –
sans changer de premier ministre – avant de commencer la campagne.
“Pour l’instant, il n’y a pas remaniement, il y a gouvernement”,
résume-t-on à l’Elysée.

L’UMP suscite davantage d’incertitudes. M. Sarkozy joue avec habileté
la partition de la réconciliation. Evoquant l’élection présidentielle
de 2007, le nouveau chef du parti majoritaire a assuré, au cours de
l’émission “Vivement Dimanche”, sur France 2 : “Si c’était Jacques
Chirac qui était en situation d’être le meilleur, eh bien, le rôle du
président de l’UMP, ce serait de le soutenir et tout autre
comportement serait irresponsable.” Mais n’en déplaise à ceux de ses
partisans qui appellent déjà à sa candidature, M. Chirac ne semble
pas, pour l’heure, vouloir évoquer 2007 autrement qu’en plaisantant.
Il pense qu’une crise politique n’est pas à exclure avec l’UMP, si la
critique du gouvernement par le parti majoritaire devenait trop forte
– ce que le président de l’Assemblée, Jean-Louis Debré, a dit
plusieurs fois publiquement. “Il faut faire confiance.
Attentivement”, dit un ami du président en parlant de l’UMP, laissant
deviner qu’il y aura plus d’attention que de confiance.

Béatrice Gurrey

–Boundary_(ID_+qZfIFY7F9/GUgz2C0QW0w)–

ANSA Notiziario Generale in Italiano
venerdì 3 dicembre 2004

UE:TURCHIA;VANZO, CONSIGLIO EUROPEO AFFRONTI QUESTIONE CIPRO ;
KEMAL ATATURK ERA UNO STERMINATORE, MA SULLA STORIA C’E’ CENSURA

ROMA

(ANSA) – ROMA, 3 DIC – “Se c’e una incognita Cipro, come ha
affermato il ministro degli Esteri, allora che il prossimo
consiglio europeo affronti la questione cipriota prima di un
devastante dibattito sull’entrata nell’Ue di un paese con 80
milioni di islamici”. Lo ha affermato il senatore della Lega
Antonio Vanzo, commentando il dibattito dopo le dichiarazioni
del ministro Fini in aula alla Camera.

“L’Europa in passato ha coperto piu’ volte le nefandezze
compiute da un paese che da sempre si distingue per le violenze
ai danni delle minoranze. Quanti sanno – chiede – che Kemal
Ataturk, padre della Turchia moderna ed eroe nazionale, era uno
sterminatore di greci ed armeni (ne furono ammazzati piu’ di 3
milioni)? Pochi, sicuramente, visto che i libri di scuola
italiani non ne hanno mai parlato a causa di una censura
governativa che non e’ caduta nemmeno dopo le revisioni di
programma del ministro diessino Berlinguer”.

“Tutti sapevano e tutti tacevano: la Turchia e’ la base
avanzata della Nato in Medio Oriente e degli interessi di tante
multinazionali. Per di piu’ – sottolinea il senatore della Lega
– Roma e Ankara hanno grandi interessi economici in comune e non
sono pochi quelli che attendono di spartirsi i miliardi legati
all’ arrivo degli oleodotti turchi a Trieste. I turchi, con la
scusa di Saddam, hanno usato e imbarcato i poveri curdi che
arrivavano sulle nostre coste incolpando gli iracheni da usare
come capro espiatorio”. (ANSA).

UGAB (France)
AGBU (New York)
11, square Alboni
Aline Ekmekji
75016 Paris
Tel. : ++ 12 12 319 6383
Tel. : ++ 33 1 45 20 03 18
extension 132 ou par email
Fax : ++ 33 1 40 50 88 09
[email protected]
Email : [email protected]

BULLETIN DE LIAISON DE L’UGAB-FRANCE / Décembre 2004

Stages d’été de New York : les candidatures sont ouvertes

L ‘UGAB annonce que les candidatures à ses stages d’été
de New York (New York Summer Internship Programme, ou NYSIP) sont
maintenant ouvertes. Les dossiers de candidatures sont disponibles en
ligne ou sur demande. Les stages d’été de New York ont
été conçus pour fournir une opportunité aux
étudiants des collèges et universités, d’où qu’ils
viennent, d’acquérir une expérience professionnelle dans les
meilleures conditions.

Depuis sa création en 1987, le programme a constitué un point
de départ de carrière solide et enrichissant, dans des
entreprises d’excellente réputation.

L’édition 2004 des stages d’été a rassemblé 34
étudiants de 7 pays (d’Europe, d’Amérique du Sud et des USA)
aux profils divers. Le programme éducatif et culturel qui
accompagnait les stages a couvert des sujets divers, allant de
séminaires de formation à la rédaction de CV, à la
préparation à l’entretien d’embauche ou au développement
des capacités de direction d’une équipe, en passant par des
conférences sur les effets psychologiques du génocide, avec
Anie Kaladjian, ou une introduction à la littérature
arménienne, avec Arthur Nersesian et Nancy Kricorian, et des
occasions de participer à la vie de la cité par des actions
bénévoles.

600 stagiaires ont déjà bénéficié du programme
depuis sa création. Le processus de sélection est assez
exigeant, mais permet à ceux qui ont été
sélectionnés de travailler au sein d’entreprises et
d’institutions de premier plan comme les Nations unies, Merril Lynch,
NY1 News, l’Hôpital de l’Université de Columbia, New Line
Cinema, et bien d’autres.

Les Stages d’été de Paris

En parallèle aux stages de New York, l’UGAB France organise des
stages d’été à Paris. Les candidatures pour ces stages
sont ouvertes depuis le 1 octobre 2004.

Organisé dans un esprit analogue à celui des stages de New
York, le programme donne aux étudiants (deux années
réussies à l’Université au moins) une occasion unique
d’accéder à des stages de qualité, de vivre une
expérience inoubliable dans la Ville Lumière en compagnie
d’autres jeunes arméniens d’Europe et d’ailleurs, et enfin
d’apprendre et de se divertir grâce à un programme social
fourni.

Les Stages de New York et de Paris : Infos pratiques

Stage de Paris*

Stage de New York**

27 juin – 13 août (7 semaines)

Juin – août (8 semaines)

Date limite de soumission des candidatures

31 janvier 2005

14 janvier 2005

Précisions sur les programmes proposés

Choisir downloadable forms

Contacts

UGAB (France)

AGBU (New York)

11, square Alboni

Aline Ekmekji

75016 Paris

Tél. : ++ 12 12 319 6383

Tél. : ++ 33 1 45 20 03 18

extension 132 ou par email

Fax : ++ 33 1 40 50 88 09

[email protected]

Email : [email protected]

*A partir de la deuxième année d’étude
réussie

** Etre inscrit à l’université

De nouvelles orientations pour l’UGAB

Papiers d’Arménie, Le Dauphiné Libéré, du dimanche
31 octobre 2004

Par Iskouhi Abattu. Article reproduit avec la permission du journal

A l’aube de son centième anniversaire, l’organisation
philanthropique entend relever les défis du XXIe siècle, tout
en conservant ses valeurs fondatrices.

L’Union générale arménienne de bienfaisance (Ugab) vient
d’officialiser la passation de pouvoirs entre les présidents de
Valence. L’événement a eu lieu au cours d’un dîner auquel
assistaient plus de 100 personnes et en présence du président
national Denis Ketchedjian. De retour d’Arménie où il
assistait à l’assemblée générale de l’association,
celui-ci s’est exprimé longuement sur la mission et les objectifs
de l’UGAB et ses nouvelles orientations.

Représentant les autorités civiles, religieuses ou
associatives, de nombreuses personnalités avaient répondu
à l’invitation : l’église apostolique était
représentée par le révérend père Antranik
Maldjian. Marlène Mourier députée suppléante,
représentait Patrick Labaune, député de la Drôme.
Noubar Kéchichian, adjoint au développement
socio-éducatif, Annie-Romy Koulaksézian,
déléguée au projet du centre du patrimoine, et Paul
Bagdassarian représentaient Lena Balsan, maire de Valence. Parmi
les associations étaient notamment représentées l’amicale
de Malatia, le Fonds arménien de France, Idjeval [association
chargée de promouvoir les relations entre Valence et la ville
d’Idjevan, avec laquelle elle est jumelée, NLDR], Arménia, La
Maison de la culture arménienne, la Croix Bleue, l’Ucfaf, etc.

Accueillis par le nouveau président Philippe Panossian- qui
succède à Varoujean Varvarian- les convives ont partagé
un dîner émaillé de prestations musicales et de
discussions. Ainsi, Ã en croire l’intervention de Nicolas Tavitian
sur les projets européens, et de Denis Ketchedjian, président
national, de grandes choses devraient se réaliser bientôt.
Afin de relever ces nouveaux défis et satisfaire aux besoins du
XXIe siècle des jeunes gens multi-culturels sont encouragés
à s’engager sur les grandes voies européennes. C’est le cas de
Nicolas Tavitian, originaire de Bruxelles, qui a parlé des nouveaux
projets et des objectifs de développement envisageables au niveau
européen. De nombreuses conférences sont d’ailleurs inscrites
au programme des prochaines semaines.

Respect pour l’héritage

Denis Ketchedjian a retracé les principales missions accomplies par
l’UGAB, qui poursuit ainsi l’Å`uvre colossale entreprise depuis sa
création en 1906. L’organisation construit dispensaires et
orphelinats, elle continue de gérer des externats où sont
inscrits près de 8000 élèves, des écoles du samedi
en Amérique, en Europe, au Moyen-Orient et en Australie. Grâce
à l’association, plus de 6500 élèves ont une meilleure
approche de leur identité. Outre ses propres écoles, des
dizaines d’autres ont été aidées sur le plan financier.
Depuis l’indépendance [de l’Arménie] en 1991, elle a joué
un rôle de plus en plus important entre la Diaspora et le pays.
Elle s’est employée à moderniser ses programmes afin de
répondre aux besoins en évolution permanente. Des écoles,
des centres, des bourses en passant par les stages d’entreprise Ã
New York, des soupes populaires aux activités culturelles ou
sportives, elle rassemble, motive et réunit chacun sous la
même identité. A l’aube de son centième anniversaire elle
se fixe de nouveaux objectifs, encore plus ambitieux.

Le nouveau Comité de l’UGAB-Valence est présidé par Me
Philippe Panossian.

L’UGAB Ã Valence : 6, rue Faventines.

Tél. : 04 75 43 50 48

Ecole de Vienne : Reprise des cours

Les élèves de l’Ecole de l’UGAB à Vienne ont repris les
cours à la mi-octobre cette année.

Une vingtaine d’enfants de 8 à 13 ans se sont retrouvés ainsi
dans un climat de réel enchantement. Les cours de langue et de
chant arméniens y sont dispensés les mercredis de 14h00
jusqu’Ã I7h00.

Pour tous renseignements, contacter Monsieur Charles Paltobedrossian.
Tél. : 04 74 85 20 48. Email : [email protected].

Dates à retenir :

2004

– =8F 3 Décembre, à Bruxelles : `
L’Arménie et l’Europe au XXIe siècle. ‘

Conférence sur les perspectives et le potentiel économique de
l’Arménie organisée en partenariat entre
l’UGAB et le Think-Tank Armenia 2020.

2005

Paris

Р=8F 31 Janvier : Cl̫ture des candidatures aux stages
d’été de l’UGAB à Paris.

– =8F Lundi 7 Février à 20h (salle Cortot) : Premier
concert ` Jeune Talent d’Arménie ‘, avec Suzi
Yeritisan au violon, accompagnée de sa pianiste.

Р=8F 14 Avril, Paris : Conf̩rence au M̩morial de la Shoah
à l’occasion du 90e anniversaire du génocide
arménien.

– =8F Mercredi 20 Avril à 20h (Salle Cortot) : Concert de
commémoration à l’occasion du 90e anniversaire du
génocide arménien, avec Gérard Gasparian au piano.

– =8F Vendredi 15 Mai à 20h (salle Cortot) : Deuxième
concert ` Jeune Talent d’Arménie ‘, avec
Saténik Khourdoyan au violon et Vartouhi Yeritzian au piano.

– =8F 20 Juin au 13 Août : stages d’été
à Paris.

MARSEILLE

– =8F 2 Juillet, à Marseille : Célébration du 95e
anniversaire de l’UGAB à Marseille en présence des
présidents de l’UGAB France et de l’UGAB
Internationale.

– =8F Les Colonies de l’UGAB

-ª 20 au 27 Février, à Ancelle : Séjour de ski
pour les jeunes.

-ª 4 au 25 Juillet, Ã Ancelle : Colonie de vacances de
l’UGAB pour les jeunes de 7 Ã 14 ans.

Contact : <mailto:[email protected]> [email protected]
ou tél. 06 76 48 58 73

A l’étranger

– =8F 27-29 Janvier, à Barcelone : Conférence `Les
Diasporas d’Europe et la Citoyenneté Européenne
‘.

Une conférence sur l’avenir des diasporas d’Europe
dans le contexte de l’intégration européenne.

Р=8F 14 Janvier : Cl̫ture du d̩p̫t des candidatures
aux Stages d’Eté de New York.

Les Echos, France
30 novembre 2004

Garbis Devar ouvre une maison de couture avenue Montaigne

MARIE-ANNICK DEPAGNEUX

Spécialiste de la peausserie de grand luxe, le lyonnais Garbis
Devar,dont la société, qui compte 20 personnes, a réalisé 6 millions
d’euros de chiffre d’affaires l’an dernier, ouvrira fin novembre une
boutique avenue Montaigne à Paris. « Nous avons voulu nous rapprocher
des têtes couronnées, familles princières et vedettes du show-biz,
qui, pour la plupart, séjournent dans l’hôtel Plaza Athénée sur le
même trottoir. Ce lieu a été conçu comme une maison de couture dédiée
uniquement à la fabrication de vêtements sur mesure », raconte le
styliste, qui a créé son entreprise en 1985. Le magasin historique de
Lyon, rue Gaspard-André dans la presqu’île, sera réorienté dans le
prêt-à-porter haut de gamme. A Paris, l’espace de 210 mètres carrés
représente un investissement de 1,5 million d’euros. Les aménagements
ont été confiés exclusivement à des artisans lyonnais. « Cette
implantation va nous permettre de franchir une étape importante en
termes de notoriété internationale », se réjouit ce créateur
autodidacte de trente-neuf ans, Arménien né en Turquie, dont les
parents étaient déjà un peu du métier. Son père était en effet
bottier et sa mère couturière. « J’ai toujours aimé les belles
choses, et comme je ne pouvais pas me les payer, je les fabriquais »,
raconte l’homme, qui a commencé par vendre des croquis, le temps
d’avoir un peu d’argent pour créer ses premiers habits. Le chanteur
Bernard Lavilliers a été un des ses premiers clients.

Dans ses quatre ateliers, deux à Lyon, dont un consacré aux
prototypes et deux à Paris, les peaux et fourrures viennent du monde
entier mais les tannages sont effectués en France. La société Garbis
Devar ne travaille que les matières les plus nobles : agneau et cerf
pour les lignes classiques, alligator, crocodile, python, autruche et
raie pour les collections exotiques. Une de ses fiertés est un long
manteau en alligator vendu 300.000 euros à un roi. « La nature nous
fournit des merveilles. J’aime l’histoire, et c’est en voyant des
cotes de maille dans les livres que j’ai eu l’idée d’utiliser la peau
d’iguane », souligne le PDG, qui réalise aussi des pièces pour des
grands noms comme Smalto, dans le cadre d’une collaboration régulière
datant de 1996, Hermès et Vuitton. Ses vêtements sont également
vendus dans une dizaine de points de vente multimarques sur la Côte
d’Azur, à Monaco et à Genève.

Azerbaijan, Georgia in talks over blocking of railway traffic

Azad Azarbaycan TV, Baku
29 Nov 04

[Presenter] The Azerbaijani ambassador to Georgia, Ramiz Hasanov, has
been invited to the Georgian Foreign Ministry over the detention of
over 900 railway wagons at the Boyuk Kasik station on the
Azerbaijani-Georgian border. While Georgian Prime Minister Zurab
Zhvania has said that the situation will not affect bilateral
relations, the Georgian Foreign Ministry has expressed its concern. In
the meantime, the release of the wagons is still in question.

[Correspondent over video of freight trains] The number of wagons
being kept on the Azerbaijani-Georgian border has already reached 975,
the deputy head of the freight processing department under the
Azerbaijani State Railway Department, Teymur Mammadov, has told
ATV. Of these, 450 wagons are loaded with diesel fuel, 396 with grain,
69 with flour, 50 with fuel oil and 12 with LPG [liquefied petroleum
gas].

The issue was discussed during meetings of the visiting representative
from the Georgian Railways Department, (?Ramaz Giorgadze), at the
State Customs Committee. Tomorrow, Azerbaijani customs officials will
leave for Georgia for negotiations, the Azerbaijani ambassador to
Georgia, Ramiz Hasanov, said.

The Azerbaijani diplomat was invited to the Georgian Foreign Ministry
today to discuss the current crisis. Answering journalists’ questions
after the meeting, the ambassador said that Baku insists on the
implementation of the agreement signed during Azerbaijani President
Ilham Aliyev’s visit to Tbilisi. The agreement stipulates that it is
unacceptable to transport by railway cargo that does not meet
Azerbaijan’s and Georgia’s interests.

[Hasanov, over phone] Under that agreement, we have the right to stop
such cargo on suspicion. And this cargo has caused
suspicion. Therefore, we have detained it to conduct an inquiry. Of
course, cargo cannot go through our territory and through the
territory of Georgia to Armenia. We suspect that this cargo might be
bound for Armenia, so we have stopped it.

[Passage omitted: Georgian Prime Minister Zurab Zhvania says the
problem should not be blown out of proportion and that some of the
cargo has already crossed the border]

“EUROPE, TURKEY AND ARMENIAN CAUSE” DISCUSSIONS AT TOURSKY THEATRE IN
MARSEILLES

Azg/arm
27 Nov 04

More than 1000 Armenian and French citizens gathered at the hall of
Toursky Theater in Marseilles on November 24 “rehearsing” for a rally
against Turkey’s accession to EU scheduled on December 17 in Brussels.

The protest action was organized by Regional Committee for Defense
of the Armenian Cause that unites Liberal Democratic Party, Armenian
Revolutionary Party, CCAF and CRAAM.

Speakers of the day, Mr. Jijikan (Paris Kurdish Institute),
Mr. Davityan (lawyer), Mr. Alexy Gyovjian (LDP), expressed views
not only on Turkeys anti-Armenia lobby in Europe but also on Jacques
Chirac’s recent pro-Turkish statements that disagree with the will
of French people who resists Turkey’s accession as a country that
refuses to acknowledge Armenian Genocide.

Mr. Maui, eminent leader of President Chirac’s UMP party, Guy
Desien president of Defense Committee of the National Assembly, Rudy
Sales deputy chairman of the National Assembly, deputies Frederick
Dudua, Henry Jibreel, Kristof Mass, Karo Hovsepian, Sylvie Medrion,
Jean-Pierre Berberian made brilliant pro-Armenian speeches. They
all spoke against the Turkey which implements nationalistic policy,
violates human rights and neglects Armenian Genocide, and mentioned
that its accession will bring new flows of unemployed emigrants to
Western Europe.

Deputies representing the most influential parties of France
expressed readiness to take part at the rally launching December 17
in Brussels. A train will be waiting to transport thousand of people
to Brussels from Marseilles.

By Hamo Moskofian in Marseilles

Armenian president to hold “major” presser on Karabakh soon – agency

Mediamax news agency
26 Nov 04

Yerevan, 26 November: Armenian President Robert Kocharyan said in
Yerevan today that “the positions of Armenia’s first and second
presidents on the Nagornyy Karabakh conflict have not changed over
the past seven years and each of them sticks to his own opinion”.

Robert Kocharyan said this while commenting on former Armenian
President Levon Ter-Petrosyan’s statements for journalists. As far as
the former president’s communication with the press is concerned,
Kocharyan said he considers it “natural after so many years of
silence”.

The Armenian president also promised journalists that he would hold a
“major news conference” on the Nagornyy Karabakh conflict before the
end of this year.

[Passage omitted: reported details of Ter-Petrosyan’s interview]

Desperately seeking investment
Another key business forum on horizon in Tbilisi
By M. Alkhazashvili

The Messenger, Georgia
Nov 25 2004

Central to the administration’s economic policy is the attraction
of foreign investments to the country. To attract investment, the
government is straining to improve the investment climate as quickly
as possible, as well as to push forward its privatization program.

The new, more liberal tax code, which will come into force from next
year is intended to create not only the conditions for local business
to develop, but also the right conditions for investment from abroad.

According to the official statistics, between 1996-2004 foreign
investments amounted in total to USD 1.7 billion, the equivalent of
USD 386 per citizen. This is far from impressive: in 2003 alone,
Sakartvelos Respublika reports, foreign investment in Azerbaijan
equaled USD 410 per resident. Investment in Georgia is even less when
the two pipelines (BTC and Baku-Supsa) are taken out of the equation.

In 2003, as a result of the uncertainty surrounding the Rose
Revolution, foreign investment in the country decreased further,
but since coming to power the Saakashvili administration has made
increasing investment a priority. Some economists predict that next
year Georgia foreign investments will amount to USD 150 million. If
these investments are profitable, this will have a knock-on effect,
increasing investment in Georgia in the future.

Minister of Economy Kakha Bendukidze’s privatization program should
contribute towards increased foreign investment, though so far his
and the government’s attempts to arouse interest in state assets to
be privatized have produced little.

Local businessmen and economists complain that the privatization
process is not transparent, citing as an example the direct sale of
aviation manufacturer Tbilaviansheni to its current management in
a deal worth USD 67 million, which representatives of the Economy
Ministry describe, according to Akhali Versia, as one of the most
important sales of the year.

Deputy Minister of Economy Natia Turnava says that Georgian Telecom,
Rustavi Azoti (chemicals) and Elmavalmashenebeli (locomotive
construction factory) will be sold in the near future, while
the ministry is also currently preparing to put Elektrokavshiri
(state-owned telecommunications) and Poti and Batumi ports up for sale.

An encouraging step is the series of business conferences where
senior government officials have promoted investment in the country.
Already meetings have been held with U.S., Russian, British, Israeli,
Armenian and Azerbaijani businesses.

On November 29-20, the government will continue the effort with
the Italy-Georgia Business Forum at the Courtyard Marriott. Prime
Minister Zurab Zhvania is on tap to give the keynote address and the
government’s economic team is participating in most panel discussions.