Canadian company to start oil and gas prospecting in Armenia

CANADIAN COMPANY TO START OIL AND GAS PROSPECTING IN ARMENIA

Armenpress

YEREVAN, MAY 2, ARMENPRESS: A Canadian TransEnergy company is set to
start a large-scale oil and natural gas prospecting project in Armenia’s
Armavir region in summer. The project is based on findings of earlier
studies to discover crude oil in Armenia in 1994-1995, initiated by the
Armenian energy ministry within the frameworks of a TACIS program on the
assessment of hydrocarbon potential of the country.
Independent experts then concluded that there were grounded prerequisites
of oil reserves of industrial significance. Andranik Aghabalian from energy
ministry said an advertising campaign was started at various international
exhibitions, as a result the Canadian company was granted the license to
carry prospecting works in Armavir, which is the second of six zones that
may have industrial oil reserves.
Under the agreement with TransEnergy, it will cover all cost of the
project. In case of successful studies the Armenian government and the
company will exploit the filed oils jointly.
TransEnergy and the government are close also to striking a deal on
prospecting in Tavush region.

Turquie: Erdogan evoque de possibles liens politiques avec l’Armenie

Agence France Presse
29 avril 2005 vendredi 7:34 AM GMT

Turquie: Erdogan évoque de possibles liens politiques avec l’Arménie

ANKARA 29 avr 2005

La Turquie pourrait établir des relations politiques avec l’Arménie
tout en menant parallèlement avec ce pays une étude sur les massacres
d’Arméniens en 1915, a affirmé vendredi le Premier ministre turc
Recep Tayyip Erdogan au journal turc Milliyet.

“Il pourrait y avoir un établissement de relations politiques et de
l’autre côté les travaux d’étude pourraient se poursuivre”, a-t-il
dit.

Ankara a reconnu l’Arménie à son indépendance en 1991, mais sans
établir de relations diplomatiques.

Le président arménien Robert Kotcharian a répondu mardi par un oui
conditionnel à une proposition d’Ankara de créer une commission
d’experts pour étudier les massacres d’Arméniens, déclarant qu’il
fallait au préalable établir “des relations normales” entre les deux
pays.

M. Erdogan a cependant souligné que l’établissement de liens avec
Erevan dépendait de sa “sincérité” à mener une étude conjointe avec
les experts turcs pour élucider les événements qui se sont produits
pendant les dernières années de l’empire ottoman.

“Nous règlerons nos comptes avec l’histoire, est-ce qu’ils sont prêts
à en faire de même”, a demandé le Premier ministre qui a réaffirmé
qu’on ne pouvait qualifier les déportations d’Arméniens vers la
Syrie, alors province ottomane, de génocide.

Les Arméniens ont commémoré dimanche les 90 ans des massacres, qui
ont été officiellement reconnus comme génocide par plusieurs pays et
dont ils estiment le bilan humain à 1,5 million de morts.

La Turquie rejette catégoriquement la thèse d’un génocide, estimant
qu’il s’agissait d’une répression dans un contexte de guerre civile
où les Arméniens s’étaient alliés aux troupes russes qui avaient
envahi l’empire ottoman.

Ankara évalue à 300.000 le nombre d’Arméniens tués de maladie, de
fatigue ou victime d’attaques lors de leur périple et affirme qu’au
moins autant de Turcs ont été tués par les nationalistes Arméniens.

ANKARA: Schroeder to ask for opening

Turkish Press
April 30 2005

Press Scan

SCHROEDER TO ASK FOR OPENING

CUMHURIYET- German Chancellor Gerhard Schroeder will propose opening
of Armenian border during his visit to Turkey. During the news
conference, Schroeder will announce his support to Turkish Premier
Recep Tayyip Erdogan’s proposal of a joint historians commission
regarding so-called Armenian genocide.

US-Armenia economic cooperation group to meet May 2

Pan Armenian Group

US-ARMENIA ECONOMIC COOPERATION GROUP TO MEET MAY 2

28.04.2005 07:03

/PanARMENIAN.Net/ The recurrent 10-th sitting of the Armenian-American
Working Group for Economic Cooperation will be held in Yerevan May 2,
reported the Press Service of the US Embassy in Armenia. The sitting will be
chaired by Minister of Finance and Economic Development of Armenia Vardan
Khachatrian and coordinator of US assistance to Europe and Eurasia Tom
Adams. A number of questions of mutual interest will be discussed in the
course of the meeting.

Turkey and Armenia did not make arrangements

Pan Armenian News

TURKEY AND ARMENIA DID NOT MAKE ARRANGEMENTS

27.04.2005 03:12

/PanARMENIAN.Net/ The Armenian Foreign Ministry officials denied the
information that Turkey and Armenia had agreed upon the solution of the
problem of normalization of the bilateral relations, Foreign Ministry Press
Secretary Hamlet Gasparian stated in a conversation with PanARMENIAN.Net
reporter. In his words, the reports that the FMs of the two countries Vartan
Oskanian and Abdullah Gul have agreed upon the package of confidence
building measures composed of 10 items are not true. `No such meetings were
held,’ Gasparian stated. In his words, the Foreign Ministry reports any
talks between Armenia and Turkey at once. It should be noted that the
Milliyet Turkish newspaper had published an article, which specifically said
that the FMs of the two countries have agreed upon the package of measures.
The article also mentioned the opportunity for political, economic and
cultural cooperation, as well as stimulating a dialogue between the MPs of
the two countries. Milliyet notes that secret talks provide for the signing
of a document that will put an end to differences between Armenia and
Turkey.

Les Armeniens de Turquie se souviennent dans la discretion

Le Temps, France
25 avril 2005

Les Arméniens de Turquie se souviennent dans la discrétion

Commémorations Alors qu’en Arménie, d’imposantes cérémonies en
mémoire des victimes du génocide de 1915 étaient organisées dimanche,
en Turquie, la retenue était de rigueur.

Alors que plus d’un million de personnes se recueillaient à Erevan,
en Arménie, devant le monument dédié aux victimes du génocide de
1915, la communauté arménienne de Turquie a fait preuve dimanche
d’une grande discrétion. Par crainte de réactions
ultra-nationalistes, aucune cérémonie n’a été organisée et seule la
présence de quelques policiers postés à l’extérieur du patriarcat à
Istanbul a trahi la tension de cette journée. Le patriarche, Mesrob
II était d’ailleurs absent, ayant dû se rendre à Rome pour assister à
l’entrée en fonctions du pape Benoît XVI.

Mais derrière cette discrétion, le drame vécu par les Arméniens en
1915 hantait plus que jamais les esprits, notamment lors de la
traditionnelle prière dédiée aux morts. Sarkis Cerkezian était bien
sûr présent, comme chaque dimanche. Ce vieil homme aux sourcils en
bataille est né en 1915, année des massacres qui ont fait selon la
majorité des spécialistes plus d’un million de morts mais que la
Turquie refuse de qualifier de génocide. Sa famille a été marquée au
fer rouge par cette tragédie: ses parents ont vécu la déportation
jusqu’en Syrie où ils sont restés trois années. A leur retour, un
nouveau drame les attendait: la perte de leurs biens confisqués par
l’Etat et le début d’un deuxième exode. De la fortune familiale, il
ne reste plus rien et, aujourd’hui, c’est dans un minuscule
appartement d’un quartier populaire que vivent Sarkis, son fils,
dentiste, et sa belle fille. Cette histoire familiale a laissé un
goût amer dans l’esprit de cet homme qui vit encore dans la crainte.
«Il est honteux de dire qu’il n’y a pas eu de massacres. Pourquoi
trouve-t-on partout en Anatolie des écoles arméniennes vides?
Ont-elles été construites pour des gens qui n’existaient pas? Non,
décidément, je ne suis pas optimiste car je pense que l’histoire peut
se reproduire.»

Si ces récits familiaux sont encore transmis, certains jeunes
Arméniens de Turquie tentent de tourner la page, à l’image de Nadia,
une enseignante de 35 ans. Sa priorité est de pouvoir élever son fils
de 4 ans dans la culture arménienne ce que permet la République.
Istanbul, où vit près de 90% des Arméniens de Turquie, compte ainsi
18 écoles et deux hôpitaux que finance la communauté. «Etre
Arménienne pour moi, en Turquie, n’a jamais été un problème. Bien sûr
avant, j’évitais de parler ma langue dans la rue mais depuis quelques
années, je ne m’en cache plus. Nous avons des journaux, des
magazines, et bientôt nous aurons une radio», se réjouit-elle. Même
si les événements de 1915 restent ancrés dans son esprit, Nadia
refuse donc de se laisser hanter par cette histoire, tout comme Zakar
Aktungur, joaillier de 39 ans, installé un peu plus loin sur un banc,
en train de fumer une cigarette. «Bien sûr, nous savons que des
choses terribles se sont déroulées en 1915. Mais nous ne pouvons pas
vivre indéfiniment avec. Les débats qui ont lieu en ce moment me
gênent car ils ravivent des plaies. Nous sommes pointés du doigt en
tant que minorité. Si ce débat est nécessaire il ne doit pas être
instrumentalisé.»

Luiz Bakar, porte-parole du patriarcat, juge elle aussi le moment
très délicat. «La tension est énorme pour ce 90e anniversaire. Chaque
jour des dizaines d’articles sont publiés sur la question arménienne
et l’on assiste à une véritable surenchère. Les journaux montrent
depuis peu des photos de Turcs massacrés par des Arméniens en 1915.
Nous nous en serions bien passés.» Face au débat très vif qui
traverse la société turque, la majorité des Arméniens se montrent
prudents, préférant laisser aux historiens le soin de répondre à la
question centrale: y a-t-il eu massacre ou génocide? L’action de la
diaspora est sur ce sujet souvent critiquée. «Les Arméniens qui
vivent à l’étranger sont beaucoup plus intransigeants que nous,
regrette Zakar Aktungur. Le problème ne pourra être résolu que par le
dialogue. Ne pas rester figé, cela vaut pour les deux parties.»

Le processus semble toutefois douloureux. Hier encore, 24
associations et ONG turques se sont réunies pour qualifier
ouvertement de «mensonges» les allégations de génocide.

Armenia, el genocidio olvidado

Diario Vasco, San Sebastián
Martes, 26 de abril de 2005

90 años de ‘la matanza de los genes’

Armenia, el genocidio olvidado

La posible apertura de una comisión de investigación entre
historiadores turcos y armenios abre una puerta al reconocimiento de
una masacre que cumple noventa años
MIKEL AYESTARAN

El conjunto monumental de Tsitsernakaberd recibió a cientos de miles
de armenios durante el acto de homenaje del domingo . [KHACHATRIAN /
AP]

«Los armenios no sienten odio hacia Turquía»
El pasado domingo se cumplió el noventa aniversario de lo que los
armenios conocen como ‘tzeraspanutyum’ (la matanza de los genes), el
genocidio de sus antepasados a manos del imperio otomano. Es el
genocidio olvidado de un país que fue un imperio y en la actualidad
apenas ocupa una superficie superior a la de Bélgica. Olvidada en
mitad del Cáucaso y tras setenta años bajo el telón de acero, Armenia
recordó al millón y medio de personas que fallecieron entre los años
1915 y 1917 con una celebración que pasó casi desapercibida en la
agenda internacional.

En la actualidad se calcula que hay diez millones de armenios y de
ellos apenas tres millones viven en su país, el resto forma parte de
una diáspora que se esfuerza en mantener los lazos con su tierra. La
ayuda económica que envía esta diáspora es imprescindible para
resistir el ahogo al que está sometida la república por parte de
Turquía y Azerbayán. Sólo Irán y Georgia mantienen abiertas sus
fronteras aunque los accesos desde ambos países son muy complicados.
La situación del país es prácticamente de aislamiento total.

Justo un día después de la conmemoración del nonagésimo aniversario
el diario turco Hurriyet publicó nueva documentación sobre el
genocidio en la que se señala que 924.158 armenios fueron obligados,
en 1915, a dejar sus casas en las provincias de Anatolia para ser
«temporalmente colocados» en Siria, entonces provincia otomana. Estos
son datos del ‘cuaderno secreto’ de Talat Pasha, el ministro de
Interior en 1915 y el encargado de planear y aplicar la «emigración
forzosa» de los armenios.

Los datos que aparecen en el documento revelan el número detallado de
armenios que abandonaron cada una de las provincias, y que en total
suman casi 925.000 personas.

Las cifras que aparecen en el documento pueden parecer altas para los
turcos, que según aclara Hurriyet no han hecho «un estudio realista
hasta hoy» y refutaría las tesis que aseguran que la población
armenia sufrió un genocidio entre 1915 y 1916.

Estas son algunas claves para acercarse al caso Armenio.

¿QUÉ ES UN GENOCIDIO?
El derecho internacional lo define como el crimen de destruir o
cometer conspiración para aniquilar y exterminar de forma premeditada
y sistemática un grupo nacional, étnico, racial o religioso. El
holocausto judío es el ejemplo más conocido, aunque la ONU también ha
denunciado prácticas genocidas en Camboya, Nigeria, Biafra, Uganda,
Irak, Yugoslavia o Ruanda.

¿QUÉ OCURRIÓ?
Al comienzo de la I Guerra Mundial los armenios eran la población no
musulmana más numerosa dentro de un ya decadente imperio otomano. El
gobierno cayó entonces en manos de un partido político nacionalista y
anticristiano, el Comité de Unión y Progreso. Esta formación puso a
los armenios en el punto de mira y dictó las medidas para terminar
con los ‘infieles’ como una de las prioridades para seguir
manteniendo la unidad del imperio. La masacre comenzó de forma
oficial el 24 de abril de 1915 con el asesinato de 600 varones de la
élite armenia de Estambul. Tras esta primera masacre se dictó la
orden de deportación de las poblaciones armenias del este del país
hacia Siria y comenzó la limpieza étnica.

LAS CIFRAS
No es fácil cuantificar el número total de fallecidos ya que además
de los asesinatos, Turquía puso en marcha una política de
deportaciones masivas que también acabó con la vida de mucha gente.
Los datos oficiales que manejan los expertos armenios alcanzan el
millón y medio de fallecimientos.

POSTURA TURCA
La diáspora armenia es importante y presiona mucho desde el
extranjero. Esto daña la imagen de una Turquía que en ningún momento
ha reconocido la masacre. Ante la conmemoración del nonagésimo
aniversario ha vuelto a producirse una presión tal sobre Turquía que
el Ministro de Asuntos Exteriores, Abdulah Gul, se ha mostrado
dispuesto a «lanzar una campaña para refutar la infundada acusación
de que Turquía perpetró el genocidio».

Turquía reconoció en 1991 la independencia de Armenia, pero hasta el
día de hoy entre los dos países vecinos no existen relaciones
diplomáticas.

POSTURA ARMENIA
El estado Armenio pide hoy lo mismo que lleva pidiendo desde hace 90
años, que Turquía reconozca la masacre. Esta reparación moral es la
única aspiración de un país que sabe que cualquier tipo de pretensión
sobre sus antiguas posesiones en la Turquía oriental no es más que un
sueño. Armenia no se plantea ni quiera una posible soberanía sobre el
monte Ararat, su símbolo más sagrado, que se encuentra a apenas
cuarenta kilómetros en línea recta desde Yereván, pero al que es
imposible acceder porque la frontera está cerrada..

RECONOCIMIENTO INTERNACIONAL
«He dado orden a mis Unidades de la Muerte de exterminar a todas las
mujeres, hombres y niños de raza polaca. Sólo de esta manera podremos
conseguir el territorio vital que necesitamos. Después de todo,
¿quién recuerda el exterminio de los armenios?» La frase, pronunciada
por Hitler en agosto del 39, es quizás el primer y más claro
reconocimiento del genocidio. Aunque Alemania siga hoy sin hacer una
condena oficial de la masacre.

La lista de las naciones que apoyan la causa armenia no es larga y se
reduce, sobre todo, a los lugares en los que la diáspora forma un
grupo de presión importante: Francia, Argentina, Uruguay, Chipre,
Rusia, Bulgaria, Canadá, Grecia, Líbano, Italia, Bélgica y Suecia. En
USA, el estado de California también reconoce los hechos y en
Australia, el parlamento de Nueva Gales del Sur. El parlamento
europeo condenó el genocidio en 1987. El último país que ha
reconocido los hechos ha sido Eslovenia.

DOCUMENTACIÓN
La memoria armenia ha tenido grandes valedores en su diáspora
internacional. El realizador Elia Kazan retrató magistralmente la
opresión turca en América, América. Charles Aznavour es casi
«embajador» armenio en Francia y es este el país más sensible a la
causa. Estos días se publican al otro lado de la muga dos importantes
documentos: Deis-es-Zor, de Bardig Kouyoumdjian, relato in situ sobre
la masacre en esa actual zona de Siria, y Le Tigre en flammnes, de
Peter Balakian, minucioso relato histórico sobre el genocidio, con
denuncia expresa al papel de Alemania y USA.

Will genocide make a 21st century comeback?

Portland Press Herald, ME
April 26 2005

Will genocide make a 21st century comeback?

Abraham J. Peck

Winston Churchill called it “the crime without a name,” a crime
responsible for the murder of nearly 170 million innocent human
beings in the 20th century who were considered the “other” in their
own homelands. We have the promise of more of the same in the 21st
century.

We call the crime genocide, from the Latin words genos (a race or
tribe) and cide (murder). It is as old as humanity itself and is
committed only by humans.

In 1948, just three years after the end of the Holocaust, the most
extreme expression of the evil of genocide, the world reacted against
an act of human barbarism that finally had a name and a punishment.
The newly formed U.N. General Assembly passed a convention making the
crime of genocide a matter of universal criminal justification.

Genocide was described as “the killing of a people because of their
group membership by race, ethnicity, religion or language.” But
genocide can also be cultural, destroying a people’s identity and
history.

Shortly after the Genocide Convention was passed, Raphael Lemkin, the
man who had coined the term genocide and who had struggled for years
to make it a crime, was found by himself in a corridor deep in the
halls of the United Nations weeping at the sense of relief after his
many years of seeking to bring about this moment.

But was he weeping for joy or because of a certain sadness reflecting
his understanding that the world was not yet ready to make genocide
obsolete?

Perhaps it was a premonition about the latter, because Lemkin, a
Polish-born Jew who lost dozens of family members in the Holocaust,
died in 1959, a disillusioned and broken man. The Cold War had
created a stalemate that did not allow for any implementation of the
Genocide Convention.

His own adopted country, the United States, had refused to ratify the
convention and would not do so until 1988, stymied for decades by
segregationist Southern politicians who feared that their treatment
of African-Americans might be labeled as a form of genocide.

When the Genocide Convention was passed by the United Nations, the
world said “never again.” But the history of the 20th century, and
now the 21st century, instead proved that “never again” became “again
and again.” The promise made by the United Nations was broken, as
genocides and other forms of mass murder killed more people than all
the international wars of the 20th century combined.

It was not for want of U.N. peacekeepers in Rwanda that 800,000
people died.

They died because of the complete lack of political will by the
world’s leaders to save them. Neither the United States nor any other
member of the U.N. Security Council had the political will to risk
one of their citizens to rescue 800,000 Tutsis and moderate Hutus
from genocide.

History repeats itself in Darfur at this very moment: 300,000 Fur
people in the south of Sudan have died, with another 10,000 dying
every month. And again, the world looks away.

Victims of genocide and their descendants have had to live with a
trauma that has very few parallels. The trauma of genocide and the
knowledge that the world did not care is passed on from generation to
generation. A kind of trauma ghetto is created that does not allow
much more than the ability to focus on what was done to that
community.

On Wednesday, in a 7 p.m. program at the Abromson Education Building
on the University of Southern Maine’s Portland campus, titled “Living
in an Age of Genocide: Remembering the Victims, Preventing the
Perpetrators,” the generations of genocide will be explored.

People from Native American and African-American communities will
join representatives from the Armenian genocide, the Holocaust,
Cambodian genocide, Rwandan and Burundi genocide, Kurdish atrocities
and the genocide in Darfur, to leave those ghettos of trauma and
raise their voices as one in protest against the continuing evil of
genocide.

The program will also ask, “Will genocide ever end?”

The political scientist Roger Smith has written that “we often hear
genocide described as actions of the mad, the primitive or bestial,
yet it is ordinary human beings who have enacted most of the mass
killing of other groups throughout history. Genocide is made
possible, not by the animal in us, but the human. ”

We need to understand this the next time we reflect on the fact that
we are created in the image of God.

Rouben Mamoulian’s Films to Be Discussed in a Lecture

Hovnanian School
817 River Road
New Milford, NJ 07646
Contact: Vartan Matiossian (201-967-5940)

Rouben Mamoulian’s Films to Be Discussed in a Lecture

At the Hovnanian School

NEW MILFORD, NJ.- At some time or another you have watched “Dr. Jekyll and
Mr. Hyde,” “Queen Christina,” or “The Mark of Zorro.” Hollywood stars like
Tyrone Power, Greta Garbo or Rita Hayworth excelled under his skillful
direction. Armenian-American filmmaker Rouben Mamoulian’s name was at the
top in the 30’s and 40’s, and his films are today regarded as true classics.
“Stage and Screen with Rouben Mamoulian” is the title of a lecture by Dr.
Arby Ovanessian, Paris-based filmmaker and scholar and currently Visiting
Professor of Armenian Studies at Columbia University. The lecture, which
will include fragments of various films, is organized by the Hovnanian
School and will be held on Thursday, April 28, at 8:00 pm. Admission is
free, but reservations are suggested ahead of time.

Armenians recall 1915 genocide

The Republican, MA
April 25 2005

Armenians recall 1915 genocide
Monday, April 25, 2005
By PATRICIA NORRIS

SPRINGFIELD – While Nevart Simmon’s mother rocked in her rocking
chair, stories of the Armenian genocide tumbled from her lips.

“My mother would cry. She would take me and my sister under her arm
and rock and cry. The stories would come out, the horror,” said
Simmons, of Springfield.

Simmons was one of several people who gathered at St. Gregory
Armenian Church in Indian Orchard to remember survivors and those
that perished in what has often been called the first genocide of the
20th century – the Armenian Genocide of 1915.

Yesterday marked the 90th anniversary of the mass killings. It is
estimated that 1.5 million Armenians died at the hands of the Ottoman
Turks during World War I and the collapse of the Ottoman Empire. But
Turkey has never acknowledged the events as a genocide, instead
saying the deaths were caused by a civil war.

At St. Gregory, most in attendance could point to ancestors who were
directly affected by the tragedy. Stories of starvation, torture and
killings were commonplace in many family histories.

Two survivors, Mari Holasian, 93 and the Rev. Sahag Vartanessian, 85
were present at the ceremony, with Vartanessian officiating over the
ceremony.

“I feel truly grateful to this country,” said Vartanessian, who fled
to several countries before finally settling in the United States
where he raised a family.