From now on a representative of Armenia to the European Court of Human Rights will be appointed and relieved by the Prime Minister.
During today’s Cabinet meeting justice minister Artak Zeynalyan said that deputy minister of justice Artak Asatryan will replace Gevorg Kostanyan as Armenia’s representative to the ECHR.
Kostanyan earlier said he is stepping down.
President Armen Sarkissian dismissed Armen Abrahamyan from the post of the commander of the Border Troops of the National Security Service.
Vaghinak Sargsyan was appointed to this position.
Colonel Vaghinak Sargsyan was dismissed from the post of the commander of the peacekeeping brigade of the Armenian Armed Forces and was appointed commander of the Border Troops of the National Security Service.
Previously he was also the head of intelligence department.
WATERVLIET, N.Y. >> This weekend, the St. Peter Armenian Apostolic Church is expected to be filled with thousands of guests attending the annual Armenian Festival.
Guests who attend the free, two-day festival will be able to taste and enjoy many different kinds of Armenian foods, listen and dance to Armenian music, shop at different vendors, and kids will enjoy various carnival rides.
The festival will run from noon to 8 p.m. Saturday and then again from noon to 4 p.m. on Sunday at 100 Troy Schenectady Road church.
Guests will be able to taste authentic Armenian foods such as Kebab meals like chicken, losh or lamb along with the famous Hye Burger and special pastries like Paklava. For any guests that can drink alcohol there will be special Armenian beer and wine for tasting.
“It’s going to be bigger and better this year, we’re expecting a 25 percent increase from last year because of the popularity of it, it’s really been growing every year,” said Rafi Topalian, one of the organizers of the festival.
When the festival first started in 1910, it was a family picnic for the Armenian community. From that, it grew to a one-day festival and it is now a two-day event. Topalian said that in the future, the festival could even expand to three days.
Topalian said the first Armenian Church community in the Capital Region was established in Green Island in 1899 and a large Armenian community moved to Troy in the early 1900s. The Watervliet church was built in 1970.
“It’s really fun for the entire family, there’s some attraction whether it be the traditional Armenian dances, whether it be the tours, whether it be the children games, or whether it be the fabulous entrees of food,” Topalian said.
There is free parking and free admission to the event with indoor and outdoor seating. Even though the festival is free admission, Topalian says the church is still able to use the two-day event as a fundraising opportunity with items that people purchase during the festival.
For more information about the festival, visit the church’s website at stpeterarmenianchurch.com, contact Rafi Topalian at (518) 810-5018 or the church at (518) 274-3673.
En pleine commémoration de la Nakba et sur fond d’escalade militaire avec Téhéran, Tel-Aviv a accueilli une délégation venue d’Azerbaïdjan, un allié de longue date coincé entre l’Iran et la Turquie.
Il faut se repasser l’actualité chargée de la semaine dernière pour repérer la bizarrerie. Les séquences sont remplies par la répression israélienne de la grande marche du retour dans la bande de Gaza, l’inauguration des nouveaux locaux à Jérusalem de l’ambassade américaine en Israël, et le torchon qui brûle entre Tel-Aviv et Recep Tayyip Erdogan.
C’est pourtant le moment qu’a choisi l’Azerbaïdjan, un pays frontalier de l’Iran dont les habitants observent majoritairement l’islam chiite, pour envoyer une délégation discuter de coopération économique en Israël. Dirigée par le ministre azéri de la Fiscalité, l’équipe est restée trois jours en Israël pour participer au premier volet d’un comité économique intergouvernemental. Ce programme avait été annoncé en décembre 2016 par Benjamin Netanyahu depuis Bakou, la capitale de l’Azerbaïdjan, où le leader israélien avait été reçu par son homologue azéri.
Dans la relation israélo-azérie, ce sont d’abord les chiffres qui parlent. L’Azerbaïdjan est la clé de la sécurité énergétique israélienne, car l’État hébreu importe 40 % de son gaz de cette petite République du Sud caucasien. Israël, pour sa part, est le principal fournisseur d’armes de Bakou, dont le budget astronomique alloué à la défense excède le budget national total de son voisin arménien avec lequel il est officiellement en guerre. Mais le tandem Tel-Aviv-Bakou va bien au-delà du « je possède ce que tu veux et réciproquement ». La petite République d’Asie centrale est ceinturée par la Turquie à l’ouest et l’Iran au sud.
Malgré l’analogie religieuse, c’est la méfiance réciproque qui caractérise les rapports entre Téhéran et Bakou. Les Azéris turcophones s’identifient davantage au voisin turc, un pays ami de l’Azerbaïdjan. Mais pour Shamkhal Abilov, conférencier en relations internationales à l’université de Bakou, la passe d’armes verbales entre Israël et la Turquie ne compromet pas les relations de l’Azerbaïdjan avec l’un ou l’autre de ses alliés. « Ce que dit Erdogan relève de la rhétorique politique. Je ne pense pas que la relation entre l’Azerbaïdjan et la Turquie soit menacée. Les relations israélo-azéries et turco-azéries sont deux choses totalement différentes. » De son côté, Tel-Aviv devrait aussi ordonner les priorités. Une nouvelle proposition de loi a été déposée à la Knesset pour reconnaître législativement le génocide arménien. Des initiatives similaires ont échoué par le passé, mises au placard pour ne pas vexer l’allié azéri à couteaux tirés avec Erevan. Il est probable que la raison d’État triomphera à nouveau sur le désir de se venger politiquement des diatribes anti-israéliennes de M. Erdogan.
Vieux amis
Avec Bakou, Tel-Aviv nourrit certainement sa relation la plus solide avec un pays musulman. Elle remonte au début des années 1990 lorsque l’Azerbaïdjan était en quête d’un avantage militaire contre son voisin arménien dans le conflit qui les oppose sur le territoire disputé du Haut-Karabakh. Plus qu’un débouché pour son industrie militaire, Tel-Aviv voyait dans Bakou le profil parfait pour mettre en œuvre sa « diplomatie de la périphérie ». Théorisée dans les premières années de l’État hébreu, cette dernière entend surmonter l’encerclement par des pays arabo-musulmans hostiles en nouant des liens avec le « deuxième cercle » comprenant des États musulmans non arabes.
Les relations diplomatiques nouées avec l’Iran du chah et la Turquie ont fourni les premiers succès de cette doctrine, avant que la révolution iranienne retire Téhéran du tableau de chasse, et que les relations avec Ankara ne se dégradent verbalement avec l’arrivée au pouvoir de Recep Tayyip Erdogan en 2002. Suite à la dissolution de l’Union soviétique, Israël a approché les nations musulmanes d’Asie centrale. L’État hébreu voit dans la « camaraderie » avec un pays musulman comme l’Azerbaïdjan un moyen de s’attirer les sympathies internationales.
De ce point de vue, Bakou partage une approche commune avec Riyad ou Abou Dhabi, même si, contrairement à ces États du Golfe, les liens israélo-azéris ne sont pas secrets. Pour Tel-Aviv, la publicité des échanges est un des principaux avantages politiques de la relation, tandis que l’Azerbaïdjan a plutôt intérêt à faire profil bas. Bakou joue sur deux tableaux, et le conflit du Haut-Karabakh en est un bon exemple. Il doit pratiquer la discrétion pour s’épargner des votes défavorables des États musulmans lorsque le conflit est à l’ordre du jour des Nations unies. Tout en chantant l’harmonie qui règne sur son territoire entre les musulmans et la minorité juive de moins de vingt mille âmes. Cette stratégie de communication vise principalement les lobbys juifs américains, qui ont vocation, dans l’esprit de l’establishment politique azéri, à neutraliser les lobbys arméniens au Congrès américain. « Même si Israël a ouvert son ambassade en Azerbaïdjan, nous n’avons pas de représentation officielle en Israël. L’Azerbaïdjan joue un jeu équilibré, d’abord car nous sommes membres de l’Organisation de coopération islamique, et ensuite car nous devons ménager l’Iran, avec lequel l’Azerbaïdjan a une filiation culturelle et religieuse », explique à L’OLJ Shamkhal Abilov.
Nouvelle donne
Aujourd’hui, ce « jeu » ne sert plus en priorité l’affrontement avec l’Arménie, rendue intouchable par son alliance avec Moscou. C’est l’hostilité partagée envers l’Iran qui renforce la cohésion avec l’allié israélien. Les rapports de l’Azerbaïdjan avec la République islamique sont historiquement tourmentés. L’Iran abrite une grosse minorité azérie, 15 à 20 millions de personnes sur plus de 80 millions d’habitants. Téhéran suspecte Bakou d’encourager l’irrédentisme de cette communauté concentrée dans le nord-ouest du pays. Pour déstabiliser son voisin, la République islamique a soutenu les arméniens chrétiens contre leurs adversaires azéris chiites au début du conflit dans le Haut-Karabakh.
Depuis une dizaine d’années, l’Azerbaïdjan dit désormais faire face à des tentatives de déstabilisation islamiste orchestrées depuis Téhéran. En 2012, les autorités azéries avaient lancé une vague massive d’arrestations contre des contingents pro-iraniens, membres du clergé chiite et de la branche locale du Hezbollah. L’inquiétude quant à l’immixtion iranienne dans les affaires du pays est allée grandissante. Une part importante des drones et systèmes de défense antiaérienne israéliens acquis en 2012 a été déployée aux alentours de la capitale azérie et dans la province sud-est du Lenkoran jouxtant l’Iran. Sur le terrain, l’agenda sécuritaire est ainsi moins accaparé par l’affrontement potentiel avec l’Arménie que par le facteur iranien. Le credo national rencontre particulièrement bien la tendance globale. En tant qu’État musulman partageant les vues stratégiques de Tel-Aviv, Bakou est aujourd’hui moins une « anomalie » qu’auparavant. Le rapprochement entre Tel-Aviv et certaines monarchies du Golfe, un secret de Polichinelle, a probablement libéré la parole et les actes. La rencontre de la semaine dernière, en pleine commémorations de la Nakba et sur le sol israélien, montre en effet que certaines barrières psychologiques ont sauté.
PanARMENIAN.Net – The Seimas of Lithuania has ratified the Comprehensive and Enhanced Partnership Agreement signed between Armenia and the European Union in late 2017, Armenia’s ambassador to Lithuania, Latvia and Estonia Tigran Mkrtchyan said in a tweet.
The deal was ratified with 89 lawmakers voting in favor and one abstaining.
“Lithuania is the third EU member state after Estonia and Latvia to ratify the historic agreement,” Mkrtchyan said.
The negotiations on the new EU-Armenia partnership agreement were launched in 2015 and concluded in 2017. It was then signed by both sides in November 2017. The final agreement marks a deeper EU-Armenia political dialogue, broadens the scope of economic cooperation and provides new opportunities for closer ties on energy, transport, infrastructure, environment, trade, education and other sectors.
The European Parliament will have a final vote on the agreement in Strasbourg in July 2018.
Carlos Paz. Más de trescientos alumnos que cursan el Sexto Año en las escuelas secundarias de Carlos Paz participarán este jueves de una jornada de debate con motivo del genocidio armenio, que será coordinada por el periodista Mariano Saravia y se hará a las 10 hs. en el Teatro del Lago.
El evento es organizado por el Concejo de Representantes y el Parlamento Juvenil, se denomina «Genocidio Armenio, un crimen sin nombre» y se enmarca dentro del «Día de la Acción por la Tolerancia y el Respeto entre los Pueblos». Durante la ocasión, se emitirá además un fragmento de la película «Ararat», tras lo cual dará inicio un taller de reflexión y debate junto a los estudiantes.
La presidenta del Concejo de Representantes, Alejandra Roldán, manifestó: «Se llevará a cabo una actividad en el marco del aniversario del Genocidio Armenio y una ordenanza que fue sancionada el año pasado. Se realizará una actividad pedagógica dirigida a estudiantes de escuelas de nivel medio y privada en el Teatro del Lago. La misma estará a cargo del periodista Mariano Saravia y nos acercará a la brutalidad que caracterizó a este genocidio y tenemos muchas expectativas».
Por su parte, la concejal Laura Orce Assadourian expresó ayer: «El año pasado se presentó este proyecto para que en nuestra ciudad se trabajarán sobre conceptos como la revalorización de la democracia, el respeto de los pueblos y los derechos humanos. En ese contexto, pensé que era necesario trabajarlo desde lo pedagógico y que las nuevas generaciones tengan conciencia sobre lo que significa la libertad y la democracia. Este es la primera actividad que realizaremos y es un puntapié inicial que daremos y comprender de qué hablamos cuando hablamos de genocidio».
«El genocidio armenio estuvo caracterizado por su atrocidad, se han cometido las aberraciones más grandes y creo que muchos todavía lo niegan por cuestiones económicas y geopolíticas que tienen que ver con Turquía, con Siria, con Estados Unidos y que implica la devolución de tierras, reconocimiento de asesinatos y muchas cosas más»; completó la concejal de Unión por Córdoba.
Mariano Saravia: «La ignorancia y la indiferencia dan lugar a la impunidad»
El periodista y escritor Mariano Saravia será el encargado de coordinar el taller de debate sobre el genocidio armenio y explicó a El Diario: «Es un encuentro con estudiantes de distintos colegios para profundizar sobre este suceso lamentable de la historia de la humanidad. Cuando (Adolf) Hitler estaba por invadir Polonia, les dijo a sus oficiales: ´No se preocupen, total, quién recuerda hoy la masacre de los armenios´. O sea, la ignorancia y la indiferencia dan lugar a la impunidad, que garantiza que se sigan repitiendo estas aberraciones. Por lo tanto, si queremos un verdadero Nunca Más, debemos trabajar todos los días por memoria, verdad y justicia en todos los casos de delitos de lesa humanidad y genocidios». «Hoy el Estado Turco sigue negando su responsabilidad en el Genocidio Armenio y eso hace que este tipo de delitos se perpetúen en el tiempo»; finalizó.